Molly se prépare à passer à la télévision locale pour promouvoir son projet immobilier sur la rénovation du centre-ville. La jeune femme reste pourtant hantée par le souvenir de la mort du pasteur Deaver, survenue en 1991. A court de drogues, elle est contrainte de se réapprovisionner chez Derek, un personnage énigmatique et inquiétant. Dennis Zalewski donne régulièrement des nouvelles du mystérieux détenu à Henry, qui tente de le faire sortir de prison.
Surfons sur les années 70 dans une histoire d'exploitation pétrolière sur la côte norvégienne, puis continuons dans les décennies suivantes avec un braqueur de banque suédois pour revenir dans une comédie romantique contemporaine dans cette reco du weekend.
Présentée à Canneséries en 2018, State of Happiness est un drame historique norvégien en huit épisodes qui met la lumière sur une période qu’on ne connait pas très bien. Dans la petite ville côtière de Stavanger, quatre jeunes gens issus de milieux différents voient leurs vies bouleversées par la découverte d’un gisement pétrolier. Fils et filles de patron, d’ouvrier, mais surtout ami·e·s, nos protagonistes vont voir leurs liens entravés et leurs rêves se briser. À la fois un rite de passage vers l’âge adulte et un récit dramatique, State of Happiness met en scène ce moment de ruée vers l’or noir en mer du Nord et sa manne financière.
La BO purement des années 60 et 70 fait du bien aux oreilles, et le soin porté aux décors et aux costumes est un vrai plus. La série écrite par Mette M. Bølstad (Nobel) arrive à capter cette période de transition des pays nordiques entrant dans la vie moderne et se tournant plus vers les États-Unis. La saison est disponible sur arte.tv.
Commentaires (6)
Qu’est-ce que c’est mauvais....... je me suis rarement autant ennuyé devant une série. La réalisation est pas bonne non plus ce qui aide pas le vide total niveau scénario. Je pense m’arrêter là et c’est dommage, y avait du potentiel.
Elle a le shining
Les acteurs sont bons, mais la série se traine...
Pour l'instant j'accroche ! Je ne suis pas un expert de l'univers de Stephen King mais j'en sais assez pour apprécier les références ! J'en veux encore !
La fin de l'épisode est vraiment prenante ! "Nick Cage" est bien étrange quand il demande son age à Henry et encore plus quand il lui demande s'il l'entend maintenant ? Molly aurait-elle tué le père adoptif d'Henry parce qu'elle n'aimait pas comment il se comportait avec lui (vu qu'elle espionne ses pensées) ?
« Things happen when we’re together and it can be overwhelming. » Le personnage de Molly est... intrigant. Il semblerait que Henry a un effet sur ses pouvoirs. Quel pouvoir pesant au fond de pouvoir lire dans les pensées des gens. J’ai hâte d’en savoir un peu plus sur elle et j’ai surtout hâte de découvrir pour quelle raison, elle a fini par tuer le rêvèrent. Rêvèrent qui semble la hanter dans le futur. « Has it begun ? Do you hear it now ? » Le plus intrigant reste sans doute pour moi, ce que Mickey boy alias Nick Cage, dit à Henry à la fin. Il semblerait qu’un jeu soit ouvert.