Une bande d'amis s'offre une randonnée à cheval dans la forêt tropicale de Sainte-Marie pour fêter leurs 50 ans. Mais la balade tourne court quand l'inspecteur Mooney et Madeleine Dumas découvrent le cadavre de l'un des leurs, un matin, au beau milieu du poste de police. L'équipe est face à un double mystère : qui a tué Adam, et comment le tueur a-t-il réussi à pénétrer dans le poste pour y déposer le corps ? Ils vont découvrir qu'Adam, jusque-là charmant, s'était aigri au cours des deux années précédentes, allant jusqu'à prendre en grippe l'un de ses amis et agresser l'accompagnatrice de la randonnée. Mais ces mobiles sont-ils suffisants ?
Diffusée en exclusivité sur OCS, disponible dans les offres CANAL+, à partir du 4 septembre 2025, la mini-série britannique de quatre épisodes dévoilera chaque jeudi soir à 23h une nouvelle étape de son intrigue. Au Pair sera également disponible à la demande dès sa diffusion.
Tout semble sourire à Zoé Dalton, incarnée par Sally Bretton (Death in Paradise, The Office) : un mari riche, deux beaux-enfants charmants, une belle demeure dans le sud de l’Angleterre et une petite entreprise de couture florissante. Mais derrière cette façade idéale, Zoé vacille. Entre un quotidien accaparé, la difficulté de trouver sa place dans une famille recomposée et la charge de son père diabétique George — joué par Sir David Suchet (Poirot) — installé dans une dépendance, la jeune femme cherche un équilibre fragile. C’est alors qu’elle engage Sandrine, une au pair française incarnée par Ludmilla Makowski (Lupin), sans se douter que la nouvelle venue cache une identité trouble et des intentions dangereuses.
Autour de ce duo central, on retrouve Kenny Doughty (Vera) dans le rôle du mari, et Virginie Ledoyen (La Plage, Huit Femmes), qui apporte une intensité supplémentaire au récit. Derrière la caméra, Oonagh Kearney orchestre ce thriller psychologique avec un sens aigu du rythme et des atmosphères. La série explore les tensions invisibles qui minent les foyers apparemment parfaits, dans la lignée de Mon amie Adèle ou Liar, où chaque épisode fait monter d’un cran la paranoïa et le doute.