Kathleen met en évidence des preuves concernant l'un des témoins vedettes de l'accusation. L'État et les avocats de Brendan jouent une terrifiante partie de ping-pong.
Quel acharnement de la part de l'État, c'est fou (et horriblement long), un ping-pong frustrant et déprimant, un éternel recommencement ! Lors d'un procès, douze personnes « non qualifiées » peuvent faire pencher la balance d'un côté ou de l'autre, et ici, deux juges contre un sont d'accord, mais rien à faire, l'État persiste et signe, persuadé d'avoir raison. Qu'en sera-t-il avec sept juges ? N'empêche, on s'attache à cette petite famille, simple, sans prétention, sur laquelle s'est abattue une véritable tragédie ; elle ne méritait vraiment pas ça.
Et pourquoi on lui demande encore son avis à Kratz ? 😡 Je ne peux pas le voir en peinture (ni l'entendre d'ailleurs, sa voix m'horripile), celui-là, et « l'avocat souriant » encore moins. Ils m'écœurent.
Astrose
Le père de Steven me touche tellement. On sent qu'il est beaucoup plus touché par les événements que ce qu'ils laissent transparaitre.
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Quel acharnement de la part de l'État, c'est fou (et horriblement long), un ping-pong frustrant et déprimant, un éternel recommencement ! Lors d'un procès, douze personnes « non qualifiées » peuvent faire pencher la balance d'un côté ou de l'autre, et ici, deux juges contre un sont d'accord, mais rien à faire, l'État persiste et signe, persuadé d'avoir raison. Qu'en sera-t-il avec sept juges ? N'empêche, on s'attache à cette petite famille, simple, sans prétention, sur laquelle s'est abattue une véritable tragédie ; elle ne méritait vraiment pas ça. Et pourquoi on lui demande encore son avis à Kratz ? 😡 Je ne peux pas le voir en peinture (ni l'entendre d'ailleurs, sa voix m'horripile), celui-là, et « l'avocat souriant » encore moins. Ils m'écœurent.
Le père de Steven me touche tellement. On sent qu'il est beaucoup plus touché par les événements que ce qu'ils laissent transparaitre.