Bangkok, années 1970. Charles Sobhraj règne sur le scène trompeusement cool de Kanit House. Jusqu'à ce que la disparition de deux routards intrigue un diplomate.
Rogue Heroes, des pilotes rebelles qui n’en peuvent plus de la chaîne de commande militaire et qui sont prêts à tout pour mener leurs missions à bien. Ou une unité spéciale des forces aériennes imaginée un jeune soldat qui s’ennuie. Et si vous pensez à des jeunes têtes brûlées anglaises, il y a bien quelques noms qui pourraient vous venir à l’esprit. Celui de Jack O’Connell par exemple, révélé dans Skins et qui depuis a une carrière variée mais qui est bien connu pour faire le petit malin de service grande gueule. Ou encore Connor Swindells, le Adam de Sex Education qui fait office de chien enragé. Peut-être moins Alfie Allen, qu’on connait mieux dans Game of Thrones en tant que couard mais qui va vous étonner ici. À eux trois, ils forment le trio principal d’un régiment spécial avec des égos certains de personnages historiques décrits par l’historien Ben Mcintyre dans Rogue Heroes: The History of the SAS qui raconte l’histoire vraie d’une unité spéciale de sabotage qui a changé le cours de la guerre contre les Nazis.
Canal+ accueille dès le 1er décembre cette série britannique de la BBC adaptée par Steven Knight, le père de Peaky Blinders ou encore See, et réalisée par Tom Shankland (Le Serpent) qui met en avant les superhéros d’une autre époque.
Bienvenue au Caire en 1941 et assistez à la naissance d’un petit régiment spécial qui se vante d’avoir recruté les soldats les plus audacieux, les plus braves, bref, les meilleurs. Leur but ? Saboter les Nazis plus efficacement qu’un peloton entier. Le chaos de la guerre est retranscrit dans cette série remplie d’action, d’humour et de dangers. Ces soldats aux nombreux défauts restent plein d’idéalisme dans un monde où le nazisme est à son apogée. Des héros ? Sans doute, avec ces personnages masculins qui dégoulinent de testostérone aux silhouettes bien sculptées dans le désert et qui n’hésitent pas à mouiller le maillot pour la bonne cause et leur réputation de bad boys. Trop cliché ? Un peu aussi, pour ces hommes qui pensent que tout leur est dû car ils sont prétendument les meilleurs. Résultat ? Plutôt réussi globalement pour cette série d’action qui ne se prend pas la tête et qui assume ses missions très rock’n’roll.
Commentaires (7)
L’immersion est parfaite les saut dans le temps vous oblige à garder le fil et on ne peu pas décrocher de cette histoire fascinante inspiré de fait réels… Le diplomate hollandais est très impliqué dans la disparition du couple…
Fort intéressant de voir cette époque hippies où tous les rapports semblent idéalisés, jusqu'au moment où les requins se pointent.
Les bonds et rebonds dans le temps ne m'ont pas gênée ^^ Mais je l'ai plus été par le français de "Monique" ☺️ J'aime beaucoup cette actrice mais elle n'est pas crédible en Québécoise. En revanche, je suis bluffée par le jeu de Tabor Rahim, que je n'avais pas reconnu !
Le rythme et les incessants sauts dans le temps pourraient décourager ... néanmoins le fond et la forme sont pour l’instant bons
Les flashbacks et flashforwards sont perturbants mais l'histoire est prometteuse. Ça fait bizarre de voir "Victoria" dans ce rôle de mauvaise.
Tahar Rahim est méconnaisable et terriblement flippant. Le jeu des acteurs globalement est top mais je trouve la construction du récit assez pénible à suivre. J’aime les flash-back et autres flash-forward mais là, ils sont incessant il ne faut pas lacher d’une minute sinon on peut se perdre assez vite dans la chronologie. A mon avis, ça va en perdre plus d’un 😏
Ça fait bizarre de voir Jenna en méchante, mais bon sang que ça lui va bien :,)