Anawak et Crowe misent sur la communication, Roche veut tuer le Yrr. Cela provoque des querelles sur le bateau. Car l'enjeu n'est rien de moins que l'avenir de l'humanité. Dans une situation désespérée, Charlie prend une décision radicale.
Quand on participe à Séries Mania, c’est aussi l’occasion de découvrir des co-productions françaises en avant-premières où des chaînes nationales ont pu participer à la production. C’est le cas des trois titres de notre reco du weekend.
Avec humour, Aspergirl mélange les codes de la dramédie familiale et du coming of age (ici tardif) en suivant les tribulations d’une mère de famille pas tout à fait comme les autres, qui questionne notre rapport à la norme. Louison, 38 ans, mère célibataire récemment séparée, découvre qu’elle est autiste Asperger lorsqu'on diagnostique son fils Guilhem, 11 ans, qui a blessé un camarade de classe le jour de la rentrée. À peine se sent-elle libérée par cette révélation qu’une enquête sociale démarre pour savoir si elle va conserver la garde de son enfant. Louison va devoir apprendre à s’assumer tout en prétendant être la plus "normale" possible. Mais comment se couler dans un moule dont on ne comprend pas la forme ? Touchante, éclairante et surtout très humaine, Aspergirl n’est pas une grande série, mais une qui mérite d’être vue pour s’ouvrir un peu plus sur les autres.
La co-production européenne Abysses (une autre série aussi ambitieuse est pressentie avec Concordia) était également en avant-première au festival cette année.
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Commentaires (4)
Je suis déçu de la fin (et de la série ed manière générale), ça trainait en longueur, j'espérais une fin limite mystique, mais en fait non, les scénariste ont manqué d'imagination.
Mince, moi qui pensais avoir le fin mot de l'histoire dans le dernier épisode et que c'était une mini-série.... je vais avoir le temps de tout oublier avant la diffusion de la suite... y'en a bien une ? Je ne me rappelle plus de la saison 1 de Zoo, mais y'a plus qu'à espérer que ça ne finisse pas ... en queue de poisson... plouf. Pour éviter les pièges habituels, la série a donc décidé de filmer uniquement les expériences de l'équipe de chercheurs, plutôt que les dégâts du yeur (pensées à X-Files^^)... c'est gros comme une maison mais c'est juste le nouveau nom pour un certains réchauffement climatique (disparition des côtes, modifications des courants air/eaux avec les phénomènes météo qui vont avec, réapparitions des zoonoses)... Pensées aussi au dauphin de Johnny Mnemonic^^. Et le coup du mini-sous marin laisse un goût amer après le drame irl de la sortie 2023 du Titanic....
A partir de l'épisode 4, l'intrigue ralentie énormément et la partie abyss version James Cameron sauve la fin. Même si le pitch final est aussi décevant. Après, vu la couleur des yeux de Charlie, on suppose qu'elle a bien contact.