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Aujourd'hui, j'ai reçu et lu le 16ème tome de The Walking Dead (disponible en anglais sur Amazon).
Un épisode plutôt bon, dans la lignée des tomes précédents, depuis que le groupe de survivants est installé dans le calme précaire du camp de Douglas Monroe.
Un tome assez calme (même si tout est relatif), et peut-être le plus optimiste depuis le 6-7 (l'épisode juste avant l'attaque du Gouverneur). Le groupe s'est bien agrandi depuis, même si certains l'ont quitté tragiquement, et tente de reconstruire un semblant de société avec d'autres communautés aux alentours de Washington, mais bien sûr, la violence et le sentiment d'insécurité ne sont jamais loin.
Ce qui me chiffonne un peu avec cette série, même si c'est toujours agréable à suivre, c'est qu'on distingue vraiment des cycles de narration chez Kirkman, qui reviennent au moins tous les 5-6 tomes. Comme je disais, le tome 16 rappelle vraiment le calme relatif avant l'attaque du Gouverneur sur la prison. Je ne sais pas vraiment les projets futurs de Kirkman mais cela sonnerait presque comme une fin de série : on a très peu de zombies, on rencontre des gens à nouveau civilisés, on établit des relations (ici, du troc) et on pose les bases non plus de la survie, mais d'une nouvelle vie. Donc si on suit les cycles, tout devrait partir en sucette d'ici peu et dans un sens, autant de prédictabilité ralentit un peu le rythme de la série. A suivre.
PS : gros clin d'oeil à la série d'ailleurs dans ce tome (même si je ne sais pas si ce tome a été écrit avant/après/pendant la saison 2. On voit Rick qui fait son Lori et qui sort 'Have you seen Carl ?' et se mettre à détaler à la poursuite du mioche le plus vagabond de l'histoire. Si le gamin recommence à faire chier son monde, ça va m'énerver. Je sais qu'il lui est arrivé beaucoup de merde, mais quand même.
Aujourd'hui, j'ai reçu et lu le 16ème tome de The Walking Dead (disponible en anglais sur Amazon).
Un épisode plutôt bon, dans la lignée des tomes précédents, depuis que le groupe de survivants est installé dans le calme précaire du camp de Douglas Monroe.
Un tome assez calme (même si tout est relatif), et peut-être le plus optimiste depuis le 6-7 (l'épisode juste avant l'attaque du Gouverneur). Le groupe s'est bien agrandi depuis, même si certains l'ont quitté tragiquement, et tente de reconstruire un semblant de société avec d'autres communautés aux alentours de Washington, mais bien sûr, la violence et le sentiment d'insécurité ne sont jamais loin.
Ce qui me chiffonne un peu avec cette série, même si c'est toujours agréable à suivre, c'est qu'on distingue vraiment des cycles de narration chez Kirkman, qui reviennent au moins tous les 5-6 tomes. Comme je disais, le tome 16 rappelle vraiment le calme relatif avant l'attaque du Gouverneur sur la prison. Je ne sais pas vraiment les projets futurs de Kirkman mais cela sonnerait presque comme une fin de série : on a très peu de zombies, on rencontre des gens à nouveau civilisés, on établit des relations (ici, du troc) et on pose les bases non plus de la survie, mais d'une nouvelle vie. Donc si on suit les cycles, tout devrait partir en sucette d'ici peu et dans un sens, autant de prédictabilité ralentit un peu le rythme de la série. A suivre.
PS : gros clin d'oeil à la série d'ailleurs dans ce tome (même si je ne sais pas si ce tome a été écrit avant/après/pendant la saison 2. On voit Rick qui fait son Lori et qui sort 'Have you seen Carl ?' et se mettre à détaler à la poursuite du mioche le plus vagabond de l'histoire. Si le gamin recommence à faire chier son monde, ça va m'énerver. Je sais qu'il lui est arrivé beaucoup de merde, mais quand même.
C'est l'histoire d'un chat qui s'en va. Mais on ne sait pas whiskas.
Membre depuis le 10 septembre 2011 — 4169 messages
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