Berlin, 1929. Le jour, la ville est le théâtre de violents affrontements entre communistes, factions réactionnaires et forces de l’ordre. Les nuits sont débridées, tapageuses, folles. C’est dans ce contexte que le commissaire Gereon Rath, fraîchement transféré de Cologne, enquête sur un réseau mafieux de films pornographiques, secondé par un lieutenant à l’éthique discutable et par une jeune secrétaire ambitieuse. Avec ses ramifications politiques, l’affaire s’avère rapidement sensible, voire dangereuse.
Dope Girls, la nouvelle série dramatique et criminelle signée Polly Stenham et Alex Warren, nous embarque dans le destin tourmenté de Kate, une mère célibataire contrainte d’embrasser l’illégalité pour survivre. Disponible dès le 20 mars sur Canal+.
Dès le premier épisode, Dope Girls nous plonge dans le chaos du Londres post-Première Guerre mondiale. Après un événement tragique qui bouleverse son existence, Kate (Julianne Nicholson – Mare of Easttown, The Outsider) s’installe à Soho, un quartier en pleine effervescence où règnent trafics, corruption et luttes de pouvoir. Déterminée à protéger sa fille Evie, elle se retrouve rapidement plongée dans un monde clandestin où la survie exige de faire des choix difficiles.
À ses côtés, Violet Davies (Eliza Scanlen – Sharp Objects, The First Lady) incarne une jeune policière ambitieuse tentant de s’imposer dans une institution encore profondément sexiste. Son enquête sur les milieux interlopes de Soho l’amène à croiser la route de Kate, créant une alliance aussi fragile qu’explosive. De son côté, Billie Cassidy (Umi Myers), amie et alliée de Kate, devient son soutien indéfectible face aux dangers qui l’entourent.