The Hunting
Deux enseignantes du secondaire découvrent que des élèves partagent des photos à caractère sexuel de leurs camarades mineures - une révélation qui génère une lourde tension dans les vies étroitement entrelacées de quatre adolescents et de leurs familles.
Avec Télé 7 jours, découvrez le programme qui fait l’actu à la télévision. Cette semaine, on vous conseille la série #Shame ou The Hunting en VO, dont l’intégralité est diffusée ce mardi 26 juillet sur W9, à partir de 21h05.
C’est une simple photo, adressée par une lycéenne à son amoureux, qui met le feu aux poudres. Pourquoi ? Parce que, dessus, Amandip, dite Dip (Kavitha Anandasivam) est dénudée et Assim, son prétendant, sans réfléchir, l’envoie par SMS à son meilleur ami, ne pensant pas aux conséquences…
Librement inspirée de plusieurs faits divers, cette mini-série australienne, tournée à Adélaïde, traite avec tact, et force aussi, de ce phénomène inquiétant de harcèlement en ligne, où se mélangent les émois de l’adolescence, le sexe et la puissance des réseaux sociaux.
- Pays Australie
- Genres Drame, Mini-série
- Durée d’un épisode 51 minutes
- Durée totale 3 heures 24 minutes
- Statut Terminée
- Chaîne SBS (AU)
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Showrunner
Sophie Hyde
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Liens externes
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Dernière mise à jour
1 octobre 2020 - 08:00
sur 11 bases de données
Commentaires (3)
Série intéressante, les différentes problématiques liées à l'exposition sur internet sont examinées, on voit les difficultés rencontrées par la justice pour rendre justice. La fin est décevante car dans l'ensemble on reste comme dans la vie "normale" rien ne se passe vraiment et chacun reprend son chemin. On aurait pu espérer une fin porteuse d'espoir.
The Hunting interroge avec un réalisme brut le rapport des adolescents à la sexualité dans un monde qui va toujours plus vite. L’écriture est incisive, le jeune casting formidable. Je trouve la conclusion de la série un peu cynique et frustrante : ceux qui étaient soit victimes étaient repartis les mains vides, sans que justice soit faite, tandis que le vrai méchant s’en tirait de tout. Même le professeur bien intentionné s’est retrouvé entaché de méchants soupçons sur son intégrité. Mise à part cette fin frustrante je vous recommande cette mini-série.
Sentiment mitigé. cela monte en puissance avec le nombre d'épisode, puis le soufflet retombe vite au dernier épisode. D'un côté, j'aurai voulu une fin plus classique, mais j'aurai ragé. Puis de l'autre la fin proposée ne me convient pas, et je rage tout de même. Pourtant ils ont réussi à cocher toutes les cases qui m'énervent : l'âge des lycéens (qui ont tous 4 ans de retard alors qu'ils nous les font passer pour des intellectuels voire futurs élites de la nation), bôgoce tête à claque sportif haut niveau avec parents surprotecteur, Fille dont tout le monde veut être son pôte avec parents Bôbô, immigrés bien intégrés pour le côté multiculturel. Le sujet est ultra moderne, quotidien et sensible où le meilleur débat est "à qui la faute?". A la fille de se dénuder volontairement devant un objectif ou au gars qui poste la photo? J'ai mon opinion mais le team 1er degré risque de me tomber dessus et je n'ai pas la force de débattre