Ward Fowler, un acteur capricieux et exigeant de le télévision américaine, est le héros d'une série policière dans laquelle il tient le rôle de détective. La co-productrice de la série, Claire Daley, connaît le passé de déserteur de Fowler pendant la guerre de Corée et en profite pour faire chanter celui-ci...
Avec son enquêtrice atypique et son ton léger, Elsbeth s’inscrit dans la lignée de séries comme HPI, High Potential, où l’intelligence hors norme et le regard décalé de l’héroïne transforment chaque enquête en une expérience unique. Elle rappelle également Columbo, avec sa mécanique bien rodée du howcatchem, où l’on connaît dès le départ l’identité du criminel et où le suspense repose sur la façon dont l’enquêteur va le confondre.
Lors du dernier Festival de Télévision de Monte-Carlo, nous avons eu la chance de rencontrer Carrie Preston, l’interprète d’Elsbeth Tascioni, pour échanger sur la série et son personnage culte. Une interview à découvrir, en version originale, à la fin de l'article.
Après une brillante carrière à Chicago, Elsbeth Tascioni, interprétée par Carrie Preston (The Good Wife, The Good Fight), pose ses valises à New York et collabore avec la police pour élucider des crimes aussi complexes que fascinants. Son esprit affûté et son approche décalée bousculent les conventions du NYPD, révélant des vérités parfois inconfortables sur le système judiciaire.
Commentaires (2)
Bon, ben je l’ai trouvé laborieux, celui-là… Déjà, tordu dans les réflexions de Columbo (juste pour 10 centimètres de tissu, il conclut que la personne ne partait pas en courant et que c’est un des 5 et qu’une montre à 800 dollars (ok, le mec se paye une montre à 800 dollars, ça tombe bien) peut pas retarder de 5 minutes parce qu’il admet que la montre a 5 minutes de retard… Bref, c’est du détaillounet sur lequel il se base… Et puis, à part la porte que Columbo galère à ouvrir, ça manque vachement d’humour… Et le mec qui joue une sorte de dédoublement de personnalité avec son personnage inspecteur qui soupçonne le mec comédien, j’ai pas total accroché… Bref, pas mon préféré.
Une confrontation intéressante même si deux choses ne collent pas : - la déduction pour les bras levés est très douteuse, - l'utilisation d'accessoires par le meurtrier était d'une rare stupidité