Columbo et sa femme sont en croisière sur un paquebot, ils ont gagné une croisière. Mais un crime est commis à bord du navire : un passager, Hayden Danziger, assassine Rosanne Welles, une chanteuse qui devait se produire sur scène au cours du voyage et qui le faisait chanter. Il s'arrange pour produire un alibi irréfutable et faire accuser le musicien Lloyd Harrington...
Avec son enquêtrice atypique et son ton léger, Elsbeth s’inscrit dans la lignée de séries comme HPI, High Potential, où l’intelligence hors norme et le regard décalé de l’héroïne transforment chaque enquête en une expérience unique. Elle rappelle également Columbo, avec sa mécanique bien rodée du howcatchem, où l’on connaît dès le départ l’identité du criminel et où le suspense repose sur la façon dont l’enquêteur va le confondre.
Lors du dernier Festival de Télévision de Monte-Carlo, nous avons eu la chance de rencontrer Carrie Preston, l’interprète d’Elsbeth Tascioni, pour échanger sur la série et son personnage culte. Une interview à découvrir, en version originale, à la fin de l'article.
Après une brillante carrière à Chicago, Elsbeth Tascioni, interprétée par Carrie Preston (The Good Wife, The Good Fight), pose ses valises à New York et collabore avec la police pour élucider des crimes aussi complexes que fascinants. Son esprit affûté et son approche décalée bousculent les conventions du NYPD, révélant des vérités parfois inconfortables sur le système judiciaire.
Commentaires (3)
Pour les amateurs, l'un des épisodes les + mythiques pour moi du perspicace lieutenant avec Double exposure et Symphonie en noir. Un casting de prestige avec Robert Vaughn, Patrick McNee et Dean Stockwell, la fameuse Madame Columbo que l'on ne voit jamais, le fameux détail en tout début d'enquête qui pointe direct le tueur aux yeux de Columbo (la plume d'oreiller devant la porte de la chambre de l'infirmerie), la proximité toute en subtilité de Columbo avec sa proie, et cerise sur le gateau, un décor extérieur original de croisière qui rappellera bien entendu Love Boat aux aficionados des séries 70's. Un chef d'oeuvre qui m'avait marqué enfant
Le plaisir de suivre Columbo est là même si tout est entre facile et tiré par les cheveux… Il faut un nombre hallucinant de planètes bien alignées pour que le meurtrier soit à l’infirmerie, que l’infirmière lise le dos tourné, qu’il ait pile le temps du trajet sans voir personne, que la chanteuse n’ait pas changé d’avis ce soir-là, qu’elle n’ait pas été accompagnée (et c’est moche de pas avoir de loge à côté de la scène ou plus près…). Mais il faut vraiment qu’il manque carrément de chance pour qu’une plume s’accroche à lui jusqu’à la porte de sa chambre alors qu’il a changé d’habits sur le chemin… Bref, tiré par les cheveux mais bien tenu et agréable à suivre quand même pour la perspicacité de Columbo et sa façon de manipuler ses suspects !
Je trouve que le crime repose sur trop de chance pour que cela fonctionne C'était tout de même intéressant de voir Colombo en dehors de territoire