Décidé à se débarrasser définitivement de son père, Ray se rend à Boston. Il recherche Sully, un caïd en cavale. Après que les sbires de Sully l'ont tabassé, Ray décroche tout de même une entrevue. Sully en veut à mort à Mickey car il a balancé toute sa famille lorsqu'il était en taule. Ray met un contrat sur la tête de son père. Sully est l'un des gars les plus recherchés par le FBI ; il voyagera en douce jusqu'à LA, pour abattre Mick. Van Miller, malgré l'avertissement musclé de Ray, cherche à le faire plonger, ainsi qu'Ezra. Il a un témoin, un certain Sean Walker, aujourd'hui réalisateur, qui a assassiné une fille il y a vingt ans. Ezra et Ray avaient étouffé le meurtre. Van presse Mickey d'approcher Sean Walker et de le lui livrer. Abby retrouve un peu de sa joie de vivre en compagnie de Debra, la compagne d'Ezra. Au restaurant, complices, elles partagent soucis familiaux et souvenirs… et finissent au poste. Marvin et Bridget se lancent dans un duo musical, puis Bridget déclare son amour au jeune rappeur. Il tente d'en profiter et Ray le châtie violemment.
Une scène, c’est la totalité de la présence de Kim Cattrall dans la saison 2 de And Just Like That. Une scène où elle est menée apparaître seule, sans partager l’écran avec ses anciennes co-stars puisque ce sera juste un caméo où Samantha sera au téléphone avec Carrie. La saison 2 de And Just Like arrive outre-Atlantique le 22 juin, mais aucune date n’a été annoncée chez nous (sachant que la saison précédente était disponible sur Salto) ni dans le pass Warner.
Basé sur le roman de Thomas Mallon et adapté par un ancien de Homeland et de Ray Donovan, Ron Nyswaner,Fellow Travelers retrace les 35 ans de relation du couple Tim Laughlin (Jonathan Bailey) et Hawk Fuller (Matt Bomer), de leur première rencontre dans les années 50 de l'ère McCarthy jusqu'à l'épidémie du sida dans les années 80. La mini-série de huit épisodes est prévue pour cet automne sur Showtime, sur Paramount+ chez nous.
Somebody Somewhere suit Sam (Bridget Everett), habitant au Kansas qui a du mal à s'adapter au moule de sa ville natale. « Se confondant au deuil et aux difficultés d’acceptation, le chant est la grâce salvatrice de Sam qui va la conduire dans un voyage en quête d’elle-même et d’une communauté d'étrangers qui ont du mal à s’intégrer pas mais qui n'abandonnent pas pour autant, montrant que trouver sa communauté (et sa voix) est possible ». Une troisième saison a été officiellement commandée. Cette dramédie peu connue mériterait d’avoir une diffusion française.
Commentaires (3)
Plus Ray est dans la nasse, plus il ressemble à son père...
Au début de l'épisode, je me disais que quand même, le rythme était tout merdé. Trop de silences, trop de rien, sa meuf m'énervait, etc. Et puis Boston, et puis toute cette symétrie flippante, dans les images, dans la construction, dans les époques, les morts et les familles. La panique qui s'installe, parce que c'est hypra lent et hypra condensé à la fois, et qu'on ne sait plus où donner de la tête maintenant qu'on a toutes les cartes en main. Il y a tellement à raconter, en fait. Au début, j'étais dubitative quand ils ont renouvelé la série. Mais passé la moitié, maintenant qu'on sait le pourquoi de la plupart des questions du début, il reste à déterminer le comment, et les mystères n'ont de cesse d'en appeler d'autres.
Après l'épisode de la semaine dernière je me suis dit que la série était enfin lancé, je me suis un peu emballé ... Car cette semaine c mou très mou !