Toujours à la recherche de Naevia, Spartacus, Crixus et leur troupe s'emparent d'une villa et en libère les esclaves qui se montrent circonspects. Est-il bien raisonnable de chercher à s'affranchir par la violence du pouvoir romain ? Un esclave syrien en particulier, Tiberius, renâcle à l'idée de perdre le confort et la place privilégiée dont il jouissait. De son côté, Oenomaus, le visage et le corps peints en blanc par dérision, enchaîne les combats plus violents les uns que les autres dans l'espoir d'y laisser sa vie. Son souhait est presque exaucé quand l'un des adversaires, Caratacus, le démolit presque entièrement à coups de masse. Il échappe de peu à la mort, mais pas à la captivité...
Spartacus : House of Ashur, disponible en exclusivité en France et à l’heure US sur la chaîne OCS à partir du 6 décembre 2025 et disponible à la demande avec CINE+ OCS, s’impose comme le grand retour de l’univers épique créé par Steven S. DeKnight.
Propulsée par Rick Jacobson à la réalisation et par Steven S. DeKnight à l’écriture et à la production, cette nouvelle série américaine de dix épisodes (60 minutes chacun) nous plonge dans un récit alternatif où Ashur — incarné par Nick Tarabay, déjà mémorable dans Spartacus mais aussi vu dans The Expanse — aurait survécu et aurait été récompensé pour sa trahison.
Le point de départ est aussi audacieux que jubilatoire : libéré de l’esclavage, Ashur se retrouve maître du ludus où il combattait autrefois. Il grimpe les marches du pouvoir romain, un univers où la perfidie n’est pas un défaut mais une stratégie. Le jeu politique devient son véritable terrain de combat, plus dangereux encore que l’arène. Dans ce monde où chaque sourire cache une lame, Ashur introduit un élément explosif : Achillia, gladiatrice farouche incarnée par Tenika Davis, que les abonnés auront peut-être croisée dans Jupiter’s Legacy ou plus récemment dans Ça : Bienvenue à Derry. Une guerrière prête à affronter un univers d’hommes et à redéfinir le spectacle gladiatorial sous un angle aussi brutal que subversif. Ensemble, ils créent une forme de divertissement sanguinaire qui choque l’élite romaine et redistribue les cartes du pouvoir.
Commentaires (15)
pas mal pas mal
Oenomaus, ramener à Glaber. Pfffff Ashur, moi qui pensais quand entendrais plus parler de lui. Sinon excellent épisode, c'étais sympas de revoir des scènes dans les fosses. *_*
Ah, ben autant j'étais un peu resté sur ma faim quant au scénario avec le premier épisode, autant là ils nous servent du bordel à la même sauce que la saison 1, ce qui est fort plaisant !
le truc de fou !!! on sent encore la magouille qui était préparé depuis longtemps j'aime se petit côté mesquin ;-)
Un peu de mieux avec ce deuxième épisode bien sympathique :)
On sent venir le complot déjà !!
Je me demande ce qu il y a écrit dans le mot de Lucretia
@MrHolycow : l'adversaire de Glaber s'appelle Seppius et sa soeur Seppia (facile à retenir !). De mon côté le nouveau petit chouchou de Spartacus ne m'a pas plu pour le moment, son physique, son jeu (il m'a fait penser à cet infect Orlando Bloom en Legolas) et son personnage, faut voir ce que l'avenir va lui réserver; mais à ce rythme,vu comme il est fan de lui, Spartacus va pas tarder à s'en occuper ;) Malgré un rythme un peu plus lent qu'à l'habitude l'épisode était agréable à regarder xD See you next week folks...
Tres sympa la fin de cette épisode, vivement la suite.
Très bon épisode! On se retrouve à nouveau dans les thèmes principaux de la série : - Le choix entre l'Honneur et le Déshonneur - L'opportunisme de certains personnages - L'aspect historique de la série - Les combats sanglants qui me feraient presque détourner le regard - Des hormones à tout va. J'ai hâte d'être la semaine prochaine afin d'en savoir plus sur les plans de Lucrétia et ses comparses, des choix de Tiberius (Narcia), et surtout du développement des nouveaux personnages (Dont la soeur de l'adversaire de Glaber dont je ne me souviens pas le nom).
Après un premier épisode "loupé" selon moi, le deuxième rattrape le coup ! Très bon tout ça ! :D
Retour dans l'ambiance des saisons précédentes, pour le meilleur.