Après avoir fêté l’événement au Hacker Hostel, Richard et Erlich apprennent que Peter Gregory ne paiera que quand il recevra un plan d’affaires financièrement viable, incluant une réduction de personnel. Désespéré, Richard engage Jared, l’ancien sous-fifre de Belson, pour l’aider à faire des coupures. Tandis que Gilfoyle et Dinesh démontrent qu’ils sont essentiels, la position de Big Head dans la société est compromise.
Somen « Steve » Banerjee ne rêve que d’une chose : accomplir le rêve américain et que ses parents indiens soient fiers de lui. Il a de grands projets, son amour pour l’élégance à l’américaine le pousse à ouvrir un club de backgammon (oui, le jeu) de haut standing. Bientôt, il réalise que ce n’est pas ce concept qui va lui rapporter de l’argent mais plutôt un club de danseurs qui se dénudent pour les beaux yeux d’une clientèle féminine. Après Pam & Tommy, Robert Siegel sort un nouveau titre pour Hulu.
Welcome to Chippendales est disponible à partir du 11 janvier sur Disney+.
Cette histoire vraie est donc inspirée de Somen Banerjee, un immigré indien qui voulait gravir l’échelle de l’ascension sociale dans les années 80. Kumail Nanjiani a pris un tournant dans sa carrière après avoir tâté des rôles comiques dans Silicon Valley, le voici en plein essor en jouant des personnages plus dramatiques. Son Banerjee ambitieux qui manque un peu de confiance en lui à cause de ses origines mais doué d’une fibre pour les affaires, sait montrer sa vulnérabilité mais également sa jalousie. Il trouve l’amour en la personne d’Irene (Annaleigh Ashford) et fait preuve d’impulsivité, de stratagème tout en ses montrant impitoyable. Mais ce qu’il manquait à son Chippendales avant de devenir culte, c’est l’élément Nick De Noia (sous les traits de Murray Bartlett). Le vrai chorégraphe nommé aux Emmy Awards sur le déclin va regagner en popularité en prenant en charge la direction artistique du club et préparera des chorégraphies inoubliables. Mention spéciale à Bartlett qui depuis le reboot des Chroniques de San Francisco se retrouve vraiment partout de The White Lotus à Physical avec son charisme à toute épreuve et intemporel. D’ailleurs, en tant qu’acteur ouvertement homosexuel ce nouveau souffle dans sa carrière s’est traduit par uniquement des rôles gays, et à la question de savoir s’il s’agissait d’un choix conscient de sa part, il répond qu’il connait la symbolique et la responsabilité d’avoir un véritable acteur gay qui campe ces rôles, mais ce n’est pas pour autant qu’il ne choisira que des personnages de cette orientation et que ces derniers castings n’étaient qu’un hasard.
Commentaires (8)
Si tous les termes ne sont pas clairs pour nous, ils ne le sont pas non plus pour le héros et c'est très drôle de le suivre dans ses déboires. Les persos qui cherchent à défendre leur place sont très bons. Retournement de situation final... Bref, humour addictif, très bon !
La qualité est vraiment au rendez-vous : ils m'ont accroché !
Voilà, la j'ai vraiment trouvé l'épisode meilleur que le premier Plus drôle, de joli clins d'œil et en plus un beau file rouge Je vais continuer j'aime bien.
Bien meilleur que le premier. et très drôle
Comment être un génie du code et un véritable autiste du monde de l'entreprise. On a l'impression qu'ils n'ont aucune motivation pour leur boîte. Alors qu'ils bossaient tous dans une boîte avant… donc il devrait connaître. Normalement.
Pour ma part, j'ai mieux accroché à celui-ci, il faut pas s'attendre à se marrer tout le temps mais j'aime bien ce milieu où les geeks se demandent comment la vie réelle fonctionne. On verra bien au suivant si c'est toujours aussi sympa à regarder.
Mouais… toujours pas convaincu. J'ai dû (sou)rire 2 fois (dont la recherche wikipedia pour "business plan", c'est pour dire…)… bref pour ma part ça va toujours chercher du côté du pathétique et pas de la comédie. Dommage. Le background, l'histoire en elle même, tout ça c est pas mauvais, mais les acteurs et les clichés gâchent vraiment tout. Encore un épisode pour moi, et si c'est toujours pareil j'en aurai fini avec la Silicone Valley.
Je n'arrive toujours pas très bien à savoir si j'accroche ou pas. Franchement la première scène (avec la danseuse) est *ultra-cliché", et j'ai failli arrêter là. Le personnage principal est *extraordinairement mou*, ce qui n'aide pas non plus à s'intéresser à lui. Mais la suite était plutôt sympa, et les rapports de force entre les différents personnages permettent à l'épisode de voler un peu plus haut que les gros clichés trop faciles du début. Si ça continue dans cette veine, je veux bien continuer.