Le nouveau Premier ministre, Collingridge, raconte à Urquhart qu'il est beaucoup trop précieux à son poste actuel pour lui offrir un poste ministériel. Urquhart est furieux mais cache son mépris de l'homme sous son sourire courtois habituel. Collingridge, croit-il, ne durera pas longtemps et peut-être que quelque chose peut être agencé de manière à hâter son départ. Pendant ce temps, ce pourrait être une bonne idée de saper subrepticement le leader et commencer à manoeuvrer en sa faveur. Et, comme la chance lui sourit, une jeune journaliste inexpérimentée, Mattie Storin, est innocemment suspendue à ses paroles. Faisant semblant de l'aider à en apprendre davantage sur la politique de Westminster, il l'utilise pour faire fuiter des histoires néfastes sur ses rivaux. Comme le Parti se rassemble pour sa conférence annuelle, les scandales commencent à éclater.
La tendance aux adaptations n’est pas près de s’arrêter. On vous parlait récemment de En thérapie sur ARTE ou encore Your Honor sur Canal+, qui sont toutes les deux basées sur des séries israéliennes.
On vous propose un retour aux sources avec quatre séries qui ont inspiré les grosses productions américaines, toutes disponibles sur la plateforme ARTE.tv.
On commence par un monument de l’espionnage, Prisoners of War (titre original Hatufim) qui a été l’inspiration derrière les deux premières saisons de Homeland. Comme beaucoup de séries israéliennes, le concept est d’une efficacité redoutable : deux soldats israéliens sont libérés après 17 ans de captivité et retrouvent une société dans laquelle ils n’ont plus de repères. Alors qu’ils essaient de se réinsérer et de surmonter leurs traumatismes, les services de sécurité israéliens s’interrogent : sont-ils devenus des ennemis du pays pendant leur emprisonnement ?
Commentaires
Dommage que les sous-titres proposés soient pour la série de 2013 et non celle de 1990