Maintenant que Silas a pris la decision d’ouvrir son propre business le jeune homme et sa mère entre en compétition pour former une équipe et récupérer un maximum de client. Silas finit par se réconcilier avec Emma qui a bien l’intention de faire tomber Nancy.
Heylia et Dean qui viennent à New York pour finir Silas rencontrent quelques soucis à leur arrivée dans la grosse pomme.
Le juge Franklin contacte Nancy pour l’informer qu’il a de bonnes nouvelles au sujet de Stevie mais la rancœur de Silas pourrait bien noircir ce tableau.
Pendant ce temps Shane trouve un moyen de manipuler le détective Ouellette afin de retrouver sa confiance.
Présentée en première mondiale lors de la cérémonie d’ouverture du 63e festival de télévision de Monte-Carlo en présence de son casting et de son producteur exécutif Morgan Freeman, The Gray House est une fiction au féminisme discret. Non pas que la série essaie d’atténuer cette facette-là du scénario bien au contraire, mais ici les quatre héroïnes jouent justement de leur présence inoffensive, quasi-invisible, pour se jouer des hommes. Et c’est grâce à ce subterfuge que Liza et Elisabeth Van Lew, mère et fille, Mary Jane, une des employées des Van Lew et Clara, une prostituée vont dérober des secrets cruciaux pour les États du Sud et les faire passer au nord. Une stratégie qui, selon le Général Grant, a permis d’influencer sur l’issue de la guerre de Sécession.
La guerre de Sécession, ou plus communément appelée la guerre civile américaine (The Civil War), a opposé les États du Nord, l’Union, et ceux du sud dits la confédération, entre 1861 et 1865. Une guerre qui a notamment abouti à l’abolition de l’esclavage. Et c’est justement sur ce morceau historique que The Gray House a choisi de se concentrer, mais en commençant sa narration en amont du conflit, spécifiquement 9 mois avant le début des affrontements. Un choix scénaristique astucieux qui nous permet notamment de suivre le bouillonnement qui a mené aux hostilités. Mais le plus gros atout de The Gray House reste sans nul doute sa perspective presque exclusivement féminine. C’est en effet un véritable tour de force que d’avoir choisi de mettre la lumière sur des femmes lorsqu’on évoque un sujet aussi masculin que la guerre.
Des femmes de tous âges et de tous horizons, unies par un même objectif et un même courage. Un côté intergénérationnel qui se retrouve, évidemment, du côté du casting avec Mary-Louise Parker, actrice chevronnée vue dans Weeds, qui côtoie des noms émergents dans le paysage audiovisuel international comme Amethyst Davis, Daisy Head et Hannah James. Un casting enrichi de noms comme Ben Vereen devant la caméra, mais aussi Kevin Costner et Morgan Freeman, du côté de la production. Et pour ceux qui se demande à quoi fait référence le titre de la série : en contrepoint de la Maison-Blanche alors habitée par Abraham Lincoln, la « maison grise » était le lieu du gouvernement du président des États du Sud, Jefferson Davis.
Commentaires (9)
Encore un épisode sympa grâce à quelques scènes bien faite, comme Andy qui hésite sur le camp à choisir ou la présentation de Nancy pour se faire financer, l’attaque d’Heylia, la décision finale et idiote de Silas à la fin... Mais ça donne aussi l’impression que la série ne sait pas où elle veut aller, on se rabiboche, on se sépare, on revient, on repart, un coup en avant, en arrière, sur le côté… Ça manque d’une ligne suivie…
Silas enchaîne les conneries..
Oh non Silas.. Tu chies dans la colle là ! Le pire c'est qu'elle allait lui rendre la drogue, et que c'était même pas de sa faite à elle (pour une fois...). Comme quoi le manque de communication ça fout la merde ! A croire qu'ils ne répondent jamais à leurs téléphones, ou bien Nancy aurait pu laisser un message vocal plus clair expliquant qu'elle y était pour rien...
Oui en effet c'est Jill qui a la garde de Steven
Je suis à la ramasse, je ne sais absolument pas qui est la blonde qui monte dans la voiture à côté de Silas à la fin de l'épisode...Quelqu'un peut éclairer ma lanterne?
La saison 7 rattrape vraiment la catastrophe de la 6, et toutes les autres dérives. On est bien dans le schéma du début, j'en avais marre de ces saisons sans weed, c'est quand même la base du truc, leur business! J'ai trouvé cet épisode excellent, comme tous ceux de la 7. J’espère qu'on va avoir droit à un bon final.
C'est sur que c'est moins bien que les premières saisons, mais cette saison est bien meilleure que la 6.
Je suis de plus en plus déçue par la série. Pour moi, les quatre premières saisons étaient superbes, tout le reste très bof. Chaque épisode ne dure que 20 minutes, et j'en avance souvent plus de la moitié ; c'est bête parce que j'apprécie beaucoup Hunter Parrish, Mary Louise Parker, Justin Kirk, et pour cette saison Michelle Trachtenberg... Je continue de regarder histoire de voir comment ça évolue, mais je sais pas si je vais encore tenir longtemps. La série commence peut-être tout simplement à s'éssoufler...