Toujours traumatisée par la trahison de son amie, Amerie se console auprès d'un nouveau copain, Malakai. Une visite surprise entraîne Darren dans une aventure intime.
Même si on n’a pas eu de réel hiver cette année, on est quand même contents de revoir le printemps.
Le talentueux M. Ripley ? Tout à fait mais remis au goût du jour et en série plus sobrement intitulée Ripley avec Andrew Scott dans le rôle titre. Au début des années 1960, Tom Ripley, un escroc new-yorkais qui tire le diable par la queue, est engagé par un homme richissime qui l'envoie en Italie pour tenter de convaincre son fils bohème de rentrer à la maison. En acceptant cette mission, Tom met le doigt dans un engrenage complexe qui va le mener au mensonge, à la fraude et au meurtre.
Une jeune femme à la silhouette frêle, le visage dissimulé sous un épais sweat à capuche descend sur le quai d’une petite gare de province. Elle est venue se cacher : une unité de commandos de la DRSD (Direction du Renseignement et de la sécurité de la Défense) est à ses trousses... Machine, ainsi surnommée, retourne dans sa ville d’enfance à l’usine, où marxisme et kung-fu vont se mêler…
Commentaires (2)
Oh non Malakai... Il aurait dû y aller. Sinon cette série me fait un peu penser à genera+ion !
Good for you Amerie !! En tout cas j'ai un peu du mal à suivre Harper aussi, au début elle refusait net de parler à Amerie, dans celui-ci elle la harcèle (presque) jusqu'à pouvoir lui parler, pour au final pas dire grand chose d'utile... Que s'est-il passé à ce festival ?! En tout cas les parents sont hyper cool en Australie, moi au lycée jamais mes parents m'auraient laissée sortir un soir de semaine, même le week-end c'était sur permission quoi ! ^^