Contre l'avis de Pullo, Vorenus retourne au Collegium avec ses filles et Lucius. Rapidement rejoints par Lyde, ils se soumettent à un rituel de purification pour se laver de leurs péchés. N'ayant pu triompher à Rome, Octave presse Cicéron de le nommer consul et lui promet de ne rien entreprendre sans l'en informer auparavant. Octave retrouve Atia et Octavia ; alors que l'une lui demande de lui accorder son pardon, l'autre n'apprécie pas l'homme que son frère est devenu. A peine nommé consul, Octave prend le Sénat et Cicéron par surprise. Vorenus tente de ramener la paix entre Memmio et Cotta, qui se demandent s'il n'a pas perdu de son impétuosité. Afin de prendre le dessus sur l'armée de Brutus et Cassius, deux adversaires acceptent de tirer un trait sur leurs divergences.
Spartacus : House of Ashur, disponible en exclusivité en France et à l’heure US sur la chaîne OCS à partir du 6 décembre 2025 et disponible à la demande avec CINE+ OCS, s’impose comme le grand retour de l’univers épique créé par Steven S. DeKnight.
Propulsée par Rick Jacobson à la réalisation et par Steven S. DeKnight à l’écriture et à la production, cette nouvelle série américaine de dix épisodes (60 minutes chacun) nous plonge dans un récit alternatif où Ashur — incarné par Nick Tarabay, déjà mémorable dans Spartacus mais aussi vu dans The Expanse — aurait survécu et aurait été récompensé pour sa trahison.
Le point de départ est aussi audacieux que jubilatoire : libéré de l’esclavage, Ashur se retrouve maître du ludus où il combattait autrefois. Il grimpe les marches du pouvoir romain, un univers où la perfidie n’est pas un défaut mais une stratégie. Le jeu politique devient son véritable terrain de combat, plus dangereux encore que l’arène. Dans ce monde où chaque sourire cache une lame, Ashur introduit un élément explosif : Achillia, gladiatrice farouche incarnée par Tenika Davis, que les abonnés auront peut-être croisée dans Jupiter’s Legacy ou plus récemment dans Ça : Bienvenue à Derry. Une guerrière prête à affronter un univers d’hommes et à redéfinir le spectacle gladiatorial sous un angle aussi brutal que subversif. Ensemble, ils créent une forme de divertissement sanguinaire qui choque l’élite romaine et redistribue les cartes du pouvoir.
Commentaires
Octavius était beaucoup plus sûr de lui quand il était joué par l'autre acteur.