Les Tok'ra ont réfléchi à la proposition de SG-1 pour une alliance contre les Goa'uld mais comme Garshaw l'a expliqué, les habitants de la terre ne leur apportent pas assez pour justifier une alliance. Et aussi, le fait qu'aucun d'entre eux ne soit volontaire pour être l'hôte de Selmak, un Tok'ra dont l'hôte se meurt, ne fait rien qui puisse établir une confiance mutuelle. Le Capitaine Samantha Carter a une idée : son père, le Général Jacob Carter est atteint d'un cancer en face terminale. S'il devient un hôte, il sauvera sa vie de même que celle de Selmak. Alors qu'elle repart à la Base avec O'Neill faire cette proposition au Général, les Goa'uld, avertis par un espion, lancent une attaque sur la planète des Tok'ra...
Spartacus : House of Ashur, disponible en exclusivité en France et à l’heure US sur la chaîne OCS à partir du 6 décembre 2025 et disponible à la demande avec CINE+ OCS, s’impose comme le grand retour de l’univers épique créé par Steven S. DeKnight.
Propulsée par Rick Jacobson à la réalisation et par Steven S. DeKnight à l’écriture et à la production, cette nouvelle série américaine de dix épisodes (60 minutes chacun) nous plonge dans un récit alternatif où Ashur — incarné par Nick Tarabay, déjà mémorable dans Spartacus mais aussi vu dans The Expanse — aurait survécu et aurait été récompensé pour sa trahison.
Le point de départ est aussi audacieux que jubilatoire : libéré de l’esclavage, Ashur se retrouve maître du ludus où il combattait autrefois. Il grimpe les marches du pouvoir romain, un univers où la perfidie n’est pas un défaut mais une stratégie. Le jeu politique devient son véritable terrain de combat, plus dangereux encore que l’arène. Dans ce monde où chaque sourire cache une lame, Ashur introduit un élément explosif : Achillia, gladiatrice farouche incarnée par Tenika Davis, que les abonnés auront peut-être croisée dans Jupiter’s Legacy ou plus récemment dans Ça : Bienvenue à Derry. Une guerrière prête à affronter un univers d’hommes et à redéfinir le spectacle gladiatorial sous un angle aussi brutal que subversif. Ensemble, ils créent une forme de divertissement sanguinaire qui choque l’élite romaine et redistribue les cartes du pouvoir.