Quand l'équipe SG-1 tombe par hasard sur la machine du vieil ennemi des Goa'uld, Machello, ils sont victimes de sa puissante invention. Une machine capable de permuter les corps. Machello prend le corps de Daniel et le jeune archéologue se retrouve piégé dans le corps d'un vieil homme mourant. Dans le corps de Daniel, Machello s'enfuit du SGC et prend goût à la vie pour la première fois sur Terre, pendant que Daniel est couché sur son lit de mort à l'hôpital. En essayant d'aider leur ami, O'Neill et Teal'c apportent l'invention au SGC, mais déclenchent accidentellement la machine et se retrouvent permutés. Quand Machello est localisé et ramené au SGC, il révèle que le processus de la machine est irréversible...
Spartacus : House of Ashur, disponible en exclusivité en France et à l’heure US sur la chaîne OCS à partir du 6 décembre 2025 et disponible à la demande avec CINE+ OCS, s’impose comme le grand retour de l’univers épique créé par Steven S. DeKnight.
Propulsée par Rick Jacobson à la réalisation et par Steven S. DeKnight à l’écriture et à la production, cette nouvelle série américaine de dix épisodes (60 minutes chacun) nous plonge dans un récit alternatif où Ashur — incarné par Nick Tarabay, déjà mémorable dans Spartacus mais aussi vu dans The Expanse — aurait survécu et aurait été récompensé pour sa trahison.
Le point de départ est aussi audacieux que jubilatoire : libéré de l’esclavage, Ashur se retrouve maître du ludus où il combattait autrefois. Il grimpe les marches du pouvoir romain, un univers où la perfidie n’est pas un défaut mais une stratégie. Le jeu politique devient son véritable terrain de combat, plus dangereux encore que l’arène. Dans ce monde où chaque sourire cache une lame, Ashur introduit un élément explosif : Achillia, gladiatrice farouche incarnée par Tenika Davis, que les abonnés auront peut-être croisée dans Jupiter’s Legacy ou plus récemment dans Ça : Bienvenue à Derry. Une guerrière prête à affronter un univers d’hommes et à redéfinir le spectacle gladiatorial sous un angle aussi brutal que subversif. Ensemble, ils créent une forme de divertissement sanguinaire qui choque l’élite romaine et redistribue les cartes du pouvoir.