Se réveillant de ce qui paraît être une suspension cryogénique, O'Neill se retrouve dans une version futuriste du SGC entouré de visages peu familiers. Les docteurs lui disent qu'il a été congelé pendant 79 ans et que le reste de l'équipe SG-1 a péri il y a bien longtemps. Les docteurs branchent O'Neill à un appareil qui transforme sa pensée en hologrammes pendant qu'il est interrogé au sujet de races capables d'anéantir les Goa'uld. Les docteurs disent qu'ils ont besoin de toute information qui peut aider dans leur guerre actuelle contre les Goa'uld. Lorsque O'Neill entend par hasard les docteurs parler avec des voix Goa'uld, il se rend compte qu'il pourrait s'agir d'un piège. Il s'échappe et découvre que le SGC n'est qu'une copie exacte construite à l'intérieur d'une forteresse Goa'uld, et que dans les pièces voisines, Daniel et Carter subissent des traitements semblables. En essayant de s'échapper, les trois sont arrêtés par Hathor qui, furieuse, s'apprête à implanter un symbiote Goa'Uld dans l'un d'entre eux...
Spartacus : House of Ashur, disponible en exclusivité en France et à l’heure US sur la chaîne OCS à partir du 6 décembre 2025 et disponible à la demande avec CINE+ OCS, s’impose comme le grand retour de l’univers épique créé par Steven S. DeKnight.
Propulsée par Rick Jacobson à la réalisation et par Steven S. DeKnight à l’écriture et à la production, cette nouvelle série américaine de dix épisodes (60 minutes chacun) nous plonge dans un récit alternatif où Ashur — incarné par Nick Tarabay, déjà mémorable dans Spartacus mais aussi vu dans The Expanse — aurait survécu et aurait été récompensé pour sa trahison.
Le point de départ est aussi audacieux que jubilatoire : libéré de l’esclavage, Ashur se retrouve maître du ludus où il combattait autrefois. Il grimpe les marches du pouvoir romain, un univers où la perfidie n’est pas un défaut mais une stratégie. Le jeu politique devient son véritable terrain de combat, plus dangereux encore que l’arène. Dans ce monde où chaque sourire cache une lame, Ashur introduit un élément explosif : Achillia, gladiatrice farouche incarnée par Tenika Davis, que les abonnés auront peut-être croisée dans Jupiter’s Legacy ou plus récemment dans Ça : Bienvenue à Derry. Une guerrière prête à affronter un univers d’hommes et à redéfinir le spectacle gladiatorial sous un angle aussi brutal que subversif. Ensemble, ils créent une forme de divertissement sanguinaire qui choque l’élite romaine et redistribue les cartes du pouvoir.
Commentaires
nul à chier mais intéressant , 3 étoiles