Francis Laugier entre à l’Élysée. Le secrétaire général égrène les noms des ministres parmi lesquels ne figure évidemment pas celui de Philippe Rickwaert. Pas plus d’ailleurs que ceux d’écologistes, et encore moins de communistes. Rickwaert y voit une manœuvre pour l’écarter de sa circonscription avant bien sûr qu’il soit exclu du parti. Mais Rickwaert n’est pas homme à se laisser intimider. Il reprend les armes, déterminé à s’imposer pas à pas contre ses adversaires – et contre ses propres démons.
Mise à jour du 13 novembre 2025
Récompensée au GIFF 2025 par le Swiss Series Storytelling Award, The Deal s’est imposée comme la meilleure série suisse de l’année, saluée pour la qualité de son écriture et la force de sa mise en scène. Coproduite entre la Suisse, la France, le Luxembourg et la Belgique, la série avait déjà fait sensation au Festival de la Fiction de La Rochelle avant son arrivée sur ARTE.
Article du 16 octobre 2025
Commentaires (5)
Toujours un peu de mal à savoir où ils veulent aller mais je suis avec plaisir. Faut dire qu’on nous claque une présidentielle en un épisode, puis une législative en un épisode… Ça va vite mais y’a plein de bons moments dans les magouilles et je commence à me faire à Mérad dans le rôle du maire – même s’il fait un peu plus vendeur de marché que député, mais bon…
on doit pas être très loin de la réalité dans cette fiction de la vie politique
Génial ! Suspense, magouille et compagnie. De la vraie politique.
Plutôt sympathique cette série... J'ai eu un peu de mal avec Kad en homme politique dans le 1er épisode mais dans celui-ci il m'a bien bluffé. Cette série ne va pas contribuer à redorer le blason très terne de la politique :)
Assez déçu à vrai dire... Les deux épisodes souffrent des mêmes maux... Quelques bonne scènes, mais une intrigue trop vite expédiée, des acteurs trop dans la caricature et un manque de subtilité dans les transitions (aucune surprise véritable mis à part l'accident de la circulation, mais qui rappel une scène de Lost). Dans les points positifs, une peinture au vitriol de la vie politique, une BO pas trop mal et un Kad Merad qui s'en sort honorablement, même si le personnage est très éloigné de ses rôles habituels.