Episode 8

Donc, wahou, quel final. L’épisode en soi est méga prenant, plein de tension, on est happé. Nickel. Cela étant, les 6 premiers épisodes ne servent à rien… Un pédophile et sa femme qui fait une fausse couche, on s’en tape. Les magouilles du type de l’entreprise, sa femme et le triangle amoureux ? C’était pour meubler. Les deux lesbiennes qui veulent un enfant, c’est parce qu’il restait de la place. Le type de l’entreprise qui fait de la boxe, c’est de la poudre aux yeux. Les deux gays d’un vieux groupe où il s’est passé des choses, on s’en fout, même s’il s’est passé des choses et que l’un est un meurtrier… On se fout tellement de tout que même le père, paf, il dégage d’un coup à Singapour ou je ne sais plus où en laissant ses enfants à sa nouvelle copine… Alors oui, le final est prenant, même si le coupable sort du chapeau par magie, mais tout est très compliqué et plein de vide joliment orchestré.

La puissance de l'aspect psychologique de cette série et le talent de l'actrice principale sont exceptionnels !