Au XIXe siècle, en pleine Angleterre victorienne, des jeunes femmes dotées de pouvoirs surnaturels se retrouvent plongées dans un monde d'intrigues et d'aventures. Elles doivent lutter contre d'autres personnes aux capacités hors normes et empêcher la réalisation d'un complot qui pourrait changer le monde.
The Nevers est une création originale de Joss Whedon, créateur de séries cultes comme Buffy, Angel ou encore Firefly. Dans un Londres victorien de la fin du XIXème siècle, de nombreuses femmes (et quelques hommes) se retrouvent dotées d’afflictions particulières qui prennent la forme de super pouvoirs. Ce groupe, surnommé les "Touchés", vit sous l’oppression d’une opinion publique défavorable et un gouvernement très méfiant face au danger potentiel de ces "surfemmes" en puissance.
Nous enfonçons des portes ouvertes en vous disant qu’on est ici dans un X-Men mélangeant l’ambiance de l’ère victorienne à l’esthétique steampunk. La série raconte à sa façon le schisme entre humains et "mutants", un conflit en devenir qui s’envenime lorsqu’un danger considérable pèse sur tous les touchés de Londres. Amalia et Penance se lancent dans une enquête pour lever le voile sur une conspiration qui semble dépasser tout ce qu'elles auraient pu imaginer.
On suit ainsi deux femmes, Amalia True (Laura Donnelly) et Penance Adair (Ann Skelly) à la tête d’un orphelinat qui recueille les touchés marginalisés en leur donnant un foyer et une raison de vivre. La série est clairement portée par ce duo à l’alchimie manifeste : Laure Donnelly (Outlander) incarne ici un personnage à la lisière de l’anti-héroïne, qui est investie malgré elle dans une mission dont elle ne peut se détourner. Ann Skelly, qui joue son adjointe Penance, est la révélation de la série avec ce personnage qui, grâce à sa capacité à "voir" l’électricité, est l’inventrice en chef, une sorte d’agent Q au féminin qui n’aura de cesse de proposer de nombreux gadgets pour mener à bien leur enquête. Elle est aussi un support indéniable pour Amalia, tout comme une force de contradiction qui l’aide à garder le cap dans une tâche qui mettra à mal son compas moral.
Commentaires (11)
Difficile à suivre, ça part dans tous les sens… le comble pour un pilote, bref série supprimée de ma liste
Pas vraiment convaincue par ce pilote. Je donne encore une chance et j’aviserai...
Que du beau monde dans ce pilot ! Rien qu’avec les acteurs je suis déjà content. L’ambiance, l’univers me plait déjà. Je poursuis en tout cas !
J’ai pas tenu tout l’épisode. Très ennuyeux...
Quelques longueurs j attends de voir le second épisode pour savoir si je continue
J’ai trouvé ce pilot intéressant (après avoir lu un article sur Criticoo), par les décors et les actrices. Contrairement à d’autres séries, je trouve intéressant que le « lead » soit détenu par deux femmes. Par rapport à l’histoire, je suis curieuse de regarder la suite même si ce n’est pas révolutionnaire les super pouvoirs. Une mini série de 6 épisodes ou 8 conviendrait tout à fait.
Pour ma part j’ai beaucoup aimé, même si j’ai reconnu certaines ficelles scénaristiques et thèmes usuels à Whedon. Le casting est excellent (mention spéciale à Amy Manson/Maladie). Hâte de voir la suite!
Je me suis ennuyée d’une force ... c’est vraiment pas bon. Carnival Row est 100 fois mieux!
Bon démarrage ... à voir pour la suite
C'est assez étrange comme pilote : des gentilles sorcières sur fond steampunk dans un Londres victorien. ça pourrait tenir si ce n'était pas aussi bavard et aussi donneur de leçon... A voir mais je suis pas hyper convaincu pour le moment... Dans le même genre Carnival Row m'avait semblé mieux démarrer...
Pilote qui ne casse pas 3 pattes à un canard avec son rituel de combats et d'objets anachroniques qui font passer les personnages d'époque pour des teubés (comme dirait ma benjamine). Seule lueur d'espoir est de voir Herr Starr avec des cheveux et des rouflaquettes