L'armée a reçu un SOS d'une base de recherche située en Arctique, faisant état d'une possible contamination. Deux décès ont été signalés, et une 3ème personne serait infectée. Une équipe médicale du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies est aussitôt dépêchée sur place, escortée par le Major Balleseros, du corps de recherche de l'armée sur les maladies infectieuses. Le Dr Alan Farragut prend la tête des opérations, secondé de son ex-épouse, le Dr Julia Walker, avec laquelle il est en froid, et d'une jeune recrue, le Dr Sarah Jordan, secrètement amoureuse de son mentor. Débarqué dans cette base d'une grosse entreprise pharmaceutique, le petit groupe est accueilli par le Dr Hiroshi Hatake. Ils doivent ensemble écarter le danger et surtout déterminer s'il s'agit d'un rétrovirus. Les lieux hébergent pas moins d'une centaine de scientifiques venus du monde entier. Soit de nombreux patients potentiels. Pour Farragut, cette mission revêt un aspect personnel. La 3ème personne contaminée n'est autre que son frère, Peter, lequel l'a trompé avec son épouse quelques années auparavant. En professionnel accompli, il va devoir mettre de côté ses ressentiments pour se concentrer sur sa tâche. Il ne tarde d'ailleurs pas à découvrir que l'objet des secrètes recherches perpétrés dans cet endroit pourrait mettre en péril l'avenir de l'humanité...
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The Head commence sur un terrain connu : dans une base de recherche au fin fond de l’Antarctique, une équipe de scientifiques est sur le point de faire une découverte capitale. Mais alors que l’équipe de printemps s’apprête à prendre la relève, la station a coupée toute communication avec le monde extérieur. Arrivée sur place, le constat surpasse toutes les craintes : la plupart sont morts ou disparus, et seuls deux survivants vont pouvoir relater ce qui s’est réellement passé. Ou presque. La série des frères Pastor (habitué du cinéma d’horreur) utilise des ficelles bien connues pour nous emmener dans une histoire qui ne lésine pas sur les retournements de situations. Car si l’équipe de la station Polaris VI a découvert une potentielle solution au réchauffement climatique (rien que ça), en coulisse la réalité est bien plus dramatique.