- Sortie originale
- Épisode précédent S06E11 - Never Gonna Give You Up
- Numéro S06E12
- Pays États-Unis
- Genres Crime, Drame
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Dernière mise à jour
7 août 2020 - 15:15
sur 11 bases de données -
The Dead
Ray règle ses derniers comptes, tout en revisitant le passé en compagnie de son père. Les Donovan tentent de faire le ménage et de mettre de l'ordre dans leurs affaires, qui ont occasionné bien des dégâts. Smitty découvre de façon accélérée ce que signifie faire partie de la famille...
Paul Shrader avait réalisé le film American Gigolo en 1980, voici sa suite en série, 42 ans après. En 1980, Richard Gere explose avec ce rôle. Dans ce film, Gere incarne Julian Kaye, un trentenaire qui loue ses services à des femmes. Mais sa vie bascule quand on retrouve le corps d’une de ses clientes dans un lit. David Hollander (Ray Donovan) y a vu un beau point de départ pour une série qui reprend quand Julian doit refaire sa vie. Il veut à tout prix savoir la vérité sur cette nuit où tout a basculé et Paramount+ lui a offert une occasion de raconter cette histoire.
Jon Bernthal (We Own This City, The Walking Dead) reprend le rôle de Julian dans un thriller où on peut retrouver également la française Lizzie Brocheré (American Horror Story) et Gretchen Mol (Nightflyers, Boardwalk Empire). Évidemment, que serait un thriller mâtiné de polar sans une fliquette, jouée par Rosie O’Donnell (La Famille Pierrafeu, SMILF).
Julian Kaye (Jon Bernthal) a été libéré de 15 ans de prison et retrouve son ancienne amante Michelle (Gretchen Mol), sa mère encore bouleversée par l'affaire et doit faire face aux personnes qui l'ont trahi. La détective Sunday (Rosie O'Donnell) cherche la vérité sur le meurtre qui a envoyé Julian en prison il y a toutes ces années, déterrant un complot beaucoup plus vaste que prévu.
Sexe, politique, argent, American Gigolo est une suite impeccable du film. Si l’action se situe 15 ans plus tard, c’est bien 40 ans qui sépare le film de la série. American Gigolo prend aussi le choix de raconter les origines du personnage quand il était encore jeune. C’est donc un appendice audacieux qui est proposé là. Peu enclin à ce projet, Paul Shrader, réalisateur du film, n’a pas apprécié cette version modernisée. Il faudra aussi passer outre Jon Bernthal, loin d’être aussi propre et lisse que Richard Gere physiquement.
Commentaires (9)
Un Ray complètement déprimant !!!! Une très bonne saison en somme, hâte de savoir la suite de cette famille très particulière.
Avez vous reconnu la chanson que chante Bridget a table apres le mariage ?
Question? A la fin Novak sort d’une salle où c’est noté DR Mayor?? Enceinte de Ray?
J'aime toujours beaucoup la série (malgré le déménagement à NY), mais je ferais une petite remarques sur cette saison: ils poussent un peu trop Ray à devenir une loque, j'ai l'impression que cette saison à la fin de chaque épisode il est de pire en pire et dans une situation pas possible. Il est arrêté, il est enlevé, il est interné...et physiquement il fini par ressembler à rien, mais du coup ça fait un pattern, tu sais qu'à la fin de l'épisode il sera un peu plus dans la merde et ça enlève en spontanéité. Après que la mort de sa femme ait laissé une trace et qu'il y ait une déliquescence du personnage, pourquoi pas, c'est bien, mais je trouve qu'ils y sont allé un peu too much là dessus. (après on voit que sur la fin il se veut se reprendre en main donc bon...) Et sinon juste sur le dernier épisode, Bridget qui découpe le cadavre à la tronçonneuse comme si de rien n'était, pourquoi pas, mais il manque peut être une étape de progression entre la fille innocente, hors des coups de son père mais qui en subit les conséquences, et ça. Après, vu ce qu'elle a subit, qu'elle soit désensibilisée ça a du sens, mais peut être une ou deux scènes en plus pour montrer ce cheminement auraient pas été un mal, même si je me doute que ça va être traité dans la prochaine saison (qui est commandée).