Lorsqu'un Boeing 777 atterrit à l'aéroport new yorkais JFK sans qu'aucun signe de vie n'en émane, Eph Goodweather, un scientifique spécialisé dans les épidémies et les attaques biologiques, est dépêché sur les lieux. A l'intérieur de l'avion, il découvre que tous les passagers sont morts, probablement tués par un étrange virus ou... un monstre non identifié. L'homme fait alors équipe avec un ancien professeur, survivant de l'Holocauste, Abraham Setrakian. Ensemble, ils constituent un petit groupe qui devient rapidement le dernier espoir pour la survie de la race humaine. Des vampires transforment en effet petit à petit la civilisation en un gigantesque buffet. Le sang coule à flots et rien ne semble pouvoir les arrêter...
Basé sur des faits réels et adapté du livre de la journaliste Sheri Fink, lauréate du prix Pulitzer, Five Days at Memorial relate les conséquences immédiates et à plus long terme de l’ouragan Katrina sur un hôpital de la Nouvelle-Orléans. Face aux inondations, à l’absence d’électricité et à la chaleur étouffante, le personnel soignant exténué a dû prendre des décisions qu’il faudra assumer pendant des années. Memorial, c’est le nom de l’hôpital où certains habitants se sont réfugiés pour ne pas être isolés et se rassembler. Entre les véritables blessés et d’autres qui se regroupent par peur, le lieu va être rapidement débordé.
La mini-série en huit épisodes co-créée par Carlton Cuse (The Strain, Locke & Key) et John Ridley rassemble Vera Farminga, Cherry Jones, ou encore Robert Pike.
Le premier épisode s’ouvre sur un début d’enquête. Comment a-t-on retrouvé 45 cadavres à l’hôpital Memorial ? La bande-annonce le montre bien, entre le dilemme moral d’un médecin de sauver des vies mais aussi d’éviter la souffrance humaine, le choix n’est pas toujours évident. Les meilleures intentions ne conduisent pas aux meilleurs actes. Plusieurs comportements de médecins vont être analysés pour expliquer leur rôle possible dans la mort de ces 45 personnes. À Memorial il s’agit certes d’un hôpital comme un autre, mais il y a en plus une aide de soins palliatif avec de nombreuses personnes âgées. Quand l’électricité commence à être coupé, puis les inondations qui deviennent inévitables, ni les soignants, ni les patients ne savent vers quel saint se tourner.