Shaun Murphy veut absolument pratiquer une autopsie sur une Jane Doe, ce qui remet en question la déontologie de l'hôpital. Au même moment, les docteurs Claire Browne, Morgan Reznick et Marcus Andrews, traitent un étudiant de sexe masculin avec un mystérieux trouble dissociatif de l'identité.
On sait que les fans peuvent être difficiles à satisfaire, surtout lorsqu’il s’agit d’une œuvre aussi bien aimée qu’Avatar, le dernier maître de l’air, le dessin animé de Nickelodeon. Comme pour One Piece, ce serait vraiment une erreur de ne pas laisser une chance à cette adaptation en live action qui conserve bien l’essence de la série, les dilemmes moraux d’un jeune garçon qui a tout perdu et qui doit porter un fardeau bien trop lourd pour ses épaules. Dans un univers fortement inspiré du folklore chinois, où quatre royaumes symbolisant le vent, l’eau, le feu et la terre, vivaient en harmonie, un jour, l’un des royaumes et maître de l’élément feu a décidé de conquérir les autres royaumes. Pour les contrer, il n’y a véritablement qu’un seul ennemi, l’Avatar, maître des quatre éléments. Ce rôle est réincarné cycliquement dans chacun des éléments et actuellement, il s’agit d’Aang, un jeune apprenti moine au temple de l’air. Pour tuer l’Avatar, la Nation du feu décide de décimer tous les maître de l’air… Aang réussit à en échapper indemne par hasard, mais il se retrouve bloquer pendant 100 ans dans un bloc de glace. L’histoire commence quand un frère et une sœur le libèrent de son glaçon pour partir pour une grande quête. Les huit épisodes de la saison 1 d’Avatar, le dernier maître de l’air, sont à découvrir sur Netflix.
C’est vrai que le film adapté par M. Night Shyamalan avait laissé un goût amer en bouche. L’annonce d’une série live action avait plutôt été accueillie avec enthousiasme, en sachant que les créateurs originaux de l’animation Michael Dante DiMartino et Bryan Konietzko, faisaient partie de l’aventure. Des différends artistiques les ont fait se retirer du projet, pour finalement laisser la place à Albert Kim. Certes, en huit épisodes il n’y a pas tout ce qu’il y avait dans l’animation dont la saison 1 était composée de 20 épisodes, mais les personnages sont respectés, surtout Aang qui apparait comme un enfant qui partage une philosophie zen et toute l'émotion est également présente. Les autres personnages respectent tout autant leur référence, d’une Katara tenace qui se révèle être une grande guerrière à un Sokka maladroit au grand cœur. Zuko et Iroh ne sont pas en reste et se dévoilent petit à petit. Les acteurs y sont pour quelque chose car incroyable mais vrai : les principaux sont vraiment des enfants, ils sont colériques, irresponsables, curieux, affectueux, imprévisibles, ce qui colle à l’animation, et en plus sont véritablement issus de minorités. Côté adultes, la série a profité de caster toutes les têtes asiatiques connues de Daniel Dae Kim (Good Doctor) à Ken Leung (Old) en passant par Paul Sun-Hyung Lee(Kim’s Convenience) sans oublier les invités épisodiques comme Tamlyn Tomita, Utkarsh Ambudkar ou Danny Pudi. Les dialogues peuvent paraître simplistes, mais tout comme dans l’animation, ils réussissent à faire réfléchir plus profondément.
Passons aux choses sérieuses : la manipulation des éléments et les effets spéciaux. Eh bien ils n’ont pas à rougir pour un projet de Netflix à gros budget. Même si les créatures pourraient sembler plus intégrés à l’univers, Apa par exemple est plus que mignon. Les chorégraphies de combat sont également très belles. Oui, les connaisseurs pourront être frustrés de voir les raccourcis effectués, mais il s’agit clairement d’une adaptation, et parfois il faut rester tolérant pour peut-être prendre quelque chose d’autre chose d’autre. Et surtout, peut-être que cette adaptation s’adresse à un public différent, plus jeune, comme eux l’étaient aux débuts de l’animation et s'adapte à la société.
Commentaires (11)
J’ai beaucoup aimé la persévérance de Shaun pour retrouver la famille de la femme inconnue décédée..
C'est vraiment con cette fin d'épisode, il pert Carly et en même temps et certainement l'amitié de Léa...
Mais what? Putain mais elle a dit quoi Lea ? Elle refuse car il autiste ? C'est quoi cette sal... a croire qu'elle a fait exprès que Carly se sépare de Shaun. Glasmann a intérêt de la virer.
Cette dernière scène... *feelsfeelsfeels*
Une série médicale qui parle de mon syndrome sans dire trop de bêtise c’est rare que ça mérite d’être souligné !! J’ai vraiment du mal avec Carly mais Lea a mal joué sur ce coup, ça promet pour la suite ! C’est moi où on entend de plus en plus l’accent britannique de Freddie ?
Encore un épisode puissant émotionnellement
C'est dommage cette séparation Shaun / Carly mais il a quand même de la chance d'être tombé sur quelqu'un de si compréhensif et intelligent !
Claire m'enerve et je ne suis pas fan de Léa.... Carly ets vraiment une perle dans toutes ses réactions, très patiente et compréhensible... c'est dommage qu'ils aient mis fin à ce couple, mais je préfère ca plutot que Shawn se voile la face. J'ai vraiment adoré les histoires des patients, la petite Trinity, le gars a la double personnalité et l'inconnue, même si Shawn est allé trop loin, au final il a eu raison de persévérer au moins pour que le fils de l'inconnu sache ce qu'il représentait pour sa mère
Trop triste cette fin.