Shaun Murphy (Freddie Highmore), un jeune chirurgien autiste ayant le syndrome du savant, quitte une vie de campagne paisible pour entrer dans une unité chirurgicale prestigieuse. Livré à lui-même et éprouvant une grande difficulté à communiquer avec les personnes qui l'entourent, Shaun utilise son incroyable don au service de ses patients et va devoir prouver sa valeur auprès de ses collègues et certains patients, même les plus sceptiques… Il est soutenu par le docteur Aaron Glassman (Richard Schiff), son mentor depuis l'âge de quatorze ans.
Shaun est entouré du Dr Morgan Reznick (Fiona Gubelmann), du Dr Alex Park (Will Yun Lee) et du Dr Audrey Lim (Christina Chang).
On sait que les fans peuvent être difficiles à satisfaire, surtout lorsqu’il s’agit d’une œuvre aussi bien aimée qu’Avatar, le dernier maître de l’air, le dessin animé de Nickelodeon. Comme pour One Piece, ce serait vraiment une erreur de ne pas laisser une chance à cette adaptation en live action qui conserve bien l’essence de la série, les dilemmes moraux d’un jeune garçon qui a tout perdu et qui doit porter un fardeau bien trop lourd pour ses épaules. Dans un univers fortement inspiré du folklore chinois, où quatre royaumes symbolisant le vent, l’eau, le feu et la terre, vivaient en harmonie, un jour, l’un des royaumes et maître de l’élément feu a décidé de conquérir les autres royaumes. Pour les contrer, il n’y a véritablement qu’un seul ennemi, l’Avatar, maître des quatre éléments. Ce rôle est réincarné cycliquement dans chacun des éléments et actuellement, il s’agit d’Aang, un jeune apprenti moine au temple de l’air. Pour tuer l’Avatar, la Nation du feu décide de décimer tous les maître de l’air… Aang réussit à en échapper indemne par hasard, mais il se retrouve bloquer pendant 100 ans dans un bloc de glace. L’histoire commence quand un frère et une sœur le libèrent de son glaçon pour partir pour une grande quête. Les huit épisodes de la saison 1 d’Avatar, le dernier maître de l’air, sont à découvrir sur Netflix.
C’est vrai que le film adapté par M. Night Shyamalan avait laissé un goût amer en bouche. L’annonce d’une série live action avait plutôt été accueillie avec enthousiasme, en sachant que les créateurs originaux de l’animation Michael Dante DiMartino et Bryan Konietzko, faisaient partie de l’aventure. Des différends artistiques les ont fait se retirer du projet, pour finalement laisser la place à Albert Kim. Certes, en huit épisodes il n’y a pas tout ce qu’il y avait dans l’animation dont la saison 1 était composée de 20 épisodes, mais les personnages sont respectés, surtout Aang qui apparait comme un enfant qui partage une philosophie zen et toute l'émotion est également présente. Les autres personnages respectent tout autant leur référence, d’une Katara tenace qui se révèle être une grande guerrière à un Sokka maladroit au grand cœur. Zuko et Iroh ne sont pas en reste et se dévoilent petit à petit. Les acteurs y sont pour quelque chose car incroyable mais vrai : les principaux sont vraiment des enfants, ils sont colériques, irresponsables, curieux, affectueux, imprévisibles, ce qui colle à l’animation, et en plus sont véritablement issus de minorités. Côté adultes, la série a profité de caster toutes les têtes asiatiques connues de Daniel Dae Kim (Good Doctor) à Ken Leung (Old) en passant par Paul Sun-Hyung Lee(Kim’s Convenience) sans oublier les invités épisodiques comme Tamlyn Tomita, Utkarsh Ambudkar ou Danny Pudi. Les dialogues peuvent paraître simplistes, mais tout comme dans l’animation, ils réussissent à faire réfléchir plus profondément.
Passons aux choses sérieuses : la manipulation des éléments et les effets spéciaux. Eh bien ils n’ont pas à rougir pour un projet de Netflix à gros budget. Même si les créatures pourraient sembler plus intégrés à l’univers, Apa par exemple est plus que mignon. Les chorégraphies de combat sont également très belles. Oui, les connaisseurs pourront être frustrés de voir les raccourcis effectués, mais il s’agit clairement d’une adaptation, et parfois il faut rester tolérant pour peut-être prendre quelque chose d’autre chose d’autre. Et surtout, peut-être que cette adaptation s’adresse à un public différent, plus jeune, comme eux l’étaient aux débuts de l’animation et s'adapte à la société.
Commentaires (110)
La saison 7 sera la dernière :(
Le spin off dont on a vu le backdoor pilot n’aura pas lieu
Dans la lignée de la précédente saison, cette sixième salve de "Good Doctor" reprend là où le twist choc nous avait laissés. Avec une ouverture de saison réussie, le show d’ABC continu de captiver grâce à des intrigues médicales engageantes, rythmées de drame et d’émotion. Les personnages réguliers continus d’évoluer au fil des épisodes et les nouvelles recrues fraîchement arrivés cette saison se révèlent assez intéressantes. Cependant, comme toute série en cours depuis plusieurs saisons, l’ensemble commence à se répéter et à tomber dans les clichés du genre. Les problèmes personnels des personnages semblent déjà vus et quelques épisodes ne se montrent pas vraiment passionnants. En définitive, c’est une saison 6 convaincante, mais qui manque un peu plus d’ambition. - 13/20 Critique sur Good Doctor (saison 6) Vue du 23.08 au 11.10.2023 sur TF1
Série renouvelée pour une 7eme saison.
Après une saison 4 légèrement décevante, la série médicale "Good Doctor" est de retour avec une cinquième salve d’épisodes. Cette nouvelle saison qui se concentre sur le mariage de Shaun et Léa marque un nouveau tournant dans la vie de notre médecin, toujours incarné par l’excellent Freddie Highmore. Moins lourde, plus rythmée et plus convaincante, cette cinquième saison a trouvé son équilibre entre ses personnages plus profonds et ses intrigues médicales plus intéressantes. Cependant, ce n’est pas la saison la plus percutante ni la plus surprenante de la série, mais elle a su se révéler assez touchante et efficace dans l’ensemble pour qu’on reste captivé jusqu’au bout, surtout pour le cliffhanger renversant laissé en fin de saison qui nous promet une suite prometteuse. - 13,5/20 Critique sur Good Doctor (saison 5) Vue du 02.09 au 26.10.2022 sur TF1
La seule série que je regarde sur tf1. Alors go pour la saison 5 ce soir.
Top
Bien
Bien
Bien
Bien
La série est renouvelée pour une 6e saison.
la saison 4 (et 5...) est nulle sans melendez :((( il y a un vide dans la saison
Inévitable et à l’instar des autres séries médicales, "Good Doctor" débute sa quatrième saison avec un double épisode bouleversant sur la pandémie de Covid-19. Intense et touchant, ce lancement de saison est assez réussi et marquant. Cependant, le reste de la saison est malheureusement décevant, malgré son ambition de se renouveler grâce aux nouvelles recrues, les épisodes ne sont pas suffisamment convaincants pour qu’on accroche tout le long. Les personnages, notamment les nouveaux manquent de profondeur, tandis que les intrigues classiques et sans intérêt peinent à tenir le spectateur en haleine. Seules les intrigues sur le couple Shawn & Léa et la mission humanitaire se sont révélées intéressantes. Malgré sa sensibilité constante et son casting à la hauteur, cette saison 4 est pourtant la moins bonne de toutes. - 12,5/20 Critique sur Good Doctor (saison 4) Vue du 25.08 au 01.11.2021 sur TF1
Série renouvelée pour une 5e saison.
J’adore
Ok
Une saison 4 qui bascule dans le politique avec les idéologies progressistes américaines très malaisantes. Les médecins noirs développent un ressentiment soudain envers les blancs alors que jamais dans la série il n'a été question de problèmes de race ! Les blancs deviennent les oppresseurs de l'hôpital. Le Docteur Glassman, bien qu'il fasse preuve d'empathie envers tout ses collègues, ne peut pas comprendre leur malaise....car il est blanc. Shawn confronté à une femme, devenue un homme mais qui tombe enceinte malgré son traitement à la Testostérone (au secours !) pose des questions car il a du mal à démêler tout ça. Il est alors exclu par ses collègues car cette fois, malgré son autisme, il a dépassé les bornes (certainement du fait qu'il soit blanc) ! Bref, la série jusque alors bon enfant devient la porte parole de ces idéologies folles venues des USA. Tchao The Good Doctor, t'as bien changé, on ne te regrettera pas.
Merci
Cette troisième saison, dans la lignée des deux premières, est correcte dans l’ensemble. On suit peu à peu l’évolution de Shaun sur le plan amoureux après son acclimatement au milieu hospitalier consacré dans les saisons 1 et 2. Bien que la saison ne propose pas spécialement d’intrigue fil rouge fort surprenante, elle se concentre néanmoins sur quelques sous-intrigues intéressantes des protagonistes secondaires tels que Claire Brown (Antonia Thomas) ou Morgan Reznick (Fiona Gubelmann). Malgré que le show reste peu innovant sur son schéma scénaristique, il ne délaisse en rien les moments d’émotion présents au fil des épisodes, jusqu’à un final déchirant. Le tout est bien amené hormis le dénouement final légèrement conventionnel et invraisemblable, mais qui suscite tout même notre curiosité sur la tournure que prendra la prochaine saison. - 14/20 Critique sur Good Doctor (saison 3) Vue du 06.11.2019 au 03.11.2020 sur TF1