La saison 2 de Breaking Bad a été diffusée sur AMC du dimanche 8 mars 2009 au dimanche 31 mai 2009. Elle comporte 13 épisodes, le premier s'intitule "Seven Thirty-Seven" et le dernier "ABQ".
La vie de Walter White, professeur de chimie dans un lycée, est bouleversée lorsqu'il apprend qu'il est atteint d'un cancer en phase terminale. Une nouvelle qui le sort de la torpeur de son quotidien et l'amène à prendre des mesures radicales pour anticiper l'avenir de sa famille.
En compétition sérielle cette année au GIFF, The Danish Woman marque le grand retour de Benedikt Erlingsson (Woman at War) au format série. Coproduite entre l’Islande et le Danemark, la fiction est diffusée sur la chaîne publique islandaise RÚV et arrivera sur Arte courant de l'année prochaine. Le pitch ? Une ex-agente des services secrets danois s’installe dans un vieil immeuble de Reykjavik. Très vite, elle s’impose comme la voisine bienveillante, celle qui aide, conseille… puis contrôle. Sous ses airs distingués, la « Danish woman » devient l’incarnation miniature d’un empire paternaliste : elle envahit votre quotidien au nom du bien commun. Erlingsson, le co-créateur, co-scénariste et réalisateur présent au festival résume son concept avec ironie : « C’est l’histoire d’un empire qui emménage dans votre immeuble, commence par vous aider… puis finit par vous gouverner. »
La série observe ainsi la tentation de la toute-puissance morale, ce « double tranchant » où la fin justifie les moyens. Après Woman at War et son éco-guerrière lumineuse, The Danish Woman explore le versant sombre du même idéal : que se passe-t-il quand la volonté de bien faire vire à l’ingérence ?
Ditte Jensen, incarnée par Trine Dyrholm, est tout sauf une héroïne modèle. Erlingsson s’amuse d’ailleurs du cliché hollywoodien du personnage « sympathique » : « Il existe un livre intitulé Save the Cat, qui explique que le héros doit sauver un chat dans la première scène pour qu’on l’aime. Moi, j’ai décidé de tuer le chat. » et ce, dès la séquence d'ouverture de la série... pour vous dire que non, le spectateur ne décrira pas Ditte comme une gentille dame.
Commentaires (887)
Je me refais l'intégrale 10 ans après, quel bonheur !!!!
Excellent mais manque de rythme sur certains épisodes
À l'époque, j'avais regardé uniquement la première saison de Breaking Bad, mais j'avais totalement décroché. Je trouvais le rythme un peu longuet, et avec le recul, je pense que j'étais peut-être trop jeune pour vraiment saisir toute la profondeur de la série. Ce n'est que sept ans plus tard que j'ai décidé de lui redonner une chance, et quelle révélation ! J'ai été captivé par l'ambiance générale, la tension constante qui pèse sur les personnages, et les dilemmes moraux qu'ils affrontent. Et que dire du dénouement final ? C'est, à mon sens, l'une des conclusions les plus magistrales qu'une série ait pu offrir. Breaking Bad est un chef-d'œuvre que je suis heureux d'avoir redécouvert avec un regard plus mature.
Incroyable série du tout premier au tout dernier épisode. Une fin magnifiquement menée, ce qui est se fait rare dans les séries. L'une des meilleures séries qu'il m'ait été donne de voir.
Juste trop bon
Un chef d’oeuvre
Enfin vue, 10 ans apres tout le monde. Ca n'a pas pris une ride, c'est beau, c'est bien joue, et ca tient en haleine tout du long.
Chef d’œuvre
L'une de même série favorite.
Meilleure série de tous les temps, c’est ce qui m’a fait commencer les séries
Meilleure série au monde !
Top
Captivant de bout en bout
Une fameuse serie.
Une des meilleures séries que j’ai pu voir ! Si ce n’est pas la meilleure 🥰
Serie geniale
Un chef d'œuvre !
Dans le top 5 des réalisations de qualité
Une des meilleures séries
un chef d'oeuvre de série qui participe véritablement à donner ses lettres de noblesse à ce format comme de rares séries l'ont fait dans l'histoire, si je devais en choisir une seule à regarder encore et encore en sachant que je ne vais pas m'ennuyer et l'adorer toujours autant même après 10 visionnages ce serait celle-ci. le travail de gilligan est stupéfiant, elle est exigeante, tout y est parfait : la réalisation soignée avec des plans esthétiques, agréables et surtout précis techniquement et efficaces, l'ambiance générale plaisante, le scénario précis et exigeant, les personnages et les acteurs géniaux avec un duo cranston/paul qui tient du hors norme sans parler de tous les autres qui sont excellents tous autant qu'ils sont. on sent bien que l'écriture est mûrement réfléchie et tout aussi travaillée que l'image, et ça donne cette impression très agréable d'une série qui sait dès le départ où elle veut nous emmener, le scénario y est millimétré comme une montre suisse et 62 épisodes c'est exactement ce qu'il faut pour raconter cette histoire, ni un de moins, ni un de plus. pas de facilités scénaristiques et (pour moi) pas de longueurs dans le scénario justement en raison de ce triptyque réalisation-plans/jeu d'acteurs/ambiance-esthétique que gilligan et son équipe maîtrisent comme des horlogers, et il y a même de nombreux easter eggs à découvrir cachés dans chaque saison qui prouvent une très grande attention portée dans l'écriture et la continuité. certains disent le scénario déjà vu et d'autres font même la comparaison avec weeds (ROFL), comparer weeds à bb c'est comme comparer un match de ligue 2 avec un match de ligue des champions, car la précision et l'exigence de l'écriture sont d'un tout autre niveau avec ce qui a pu être fait avant avec ce type de scénario, et une telle précision et exigence dans l'écriture sont surtout extrêmement rares dans les séries en général. ajouté à l'ambition technique et artistique de bb, on se retrouve avec une série à la qualité globale sans commune mesure. les événements, comme les réactions et évolutions des personnages, sont logiques et surtout sont parfaitement mis en place (événements conducteurs, évolutions) puis mis en scène (événements, réactions). cette série te fait rire parfois, souvent elle te glace ou elle te choque : c'est puissant, intense, la tension monte, ça palpite, ça s'emballe, elle te scotche, quelques fois te décroche ta putain de mâchoire ou te fais plonger en apnée et tu ressors de certains épisodes lessivé, tu as besoin de reprendre ta respiration... elle est tellement bien réalisée, écrite et jouée, qu'elle te tire le bras et t'aspire littéralement à l'intérieur de son univers, tu es happé, tu vis le truc et ressens l'adrénaline comme avec de rares séries dans l'histoire... certaines scènes méritent d'ailleurs les annales du cinéma pour leur précision, leur esthétique, leur imagination et leur capacité à rester ancrées dans ta mémoire. tout ça fait que quand je me lance dans un nouveau visionnage de breaking bad j'enchaîne les épisodes comme des bonbons. c'est un monstre sacré pour moi... elle est multi récompensée, avec une immense fanbase comme peu de séries en ont droit, et ce n'est pas pour rien... elle est à voir absolument pour tout sériephile qui se respecte.