Une vieille dame meurt précipitée de son balcon, tuant un autre homme en atterrissant. Sherlock s'intéresse à l'affaire autant pour l'état des cadavres que pour les raisons du crime, une affaire d'immobilier complexe. Watson découvre que Gregson a une liaison avec une ex-policière au passé trouble et s'étonne quand, peu après sa rencontre, elle rompt avec le capitaine.
Conçue comme un spin-off de l’univers de Sherlock Holmes, mais sans jamais en être prisonnière, elle propulse John Watson sur le devant de la scène, dans un rôle enfin à la hauteur de sa complexité.
Créée par Craig Sweeny (scénariste sur Elementary entre autres), Watson choisit une approche à la fois émotionnelle et pleine de suspense : celle d’un homme qui tente de se reconstruire après la perte de son partenaire légendaire, tout en replongeant dans l’univers des enquêtes criminelles. Le tout porté par Morris Chestnut, dont la performance subtile et incarnée donne une réelle caractérisation au personnage.
Watson commence alors que Sherlock Holmes vient de mourir dans des circonstances troubles. Pour Watson, c’est à la fois un drame personnel et une libération ambiguë : après des années à vivre dans l’ombre d’un esprit surdoué, il lui faut désormais affronter sa propre légitimité. Devenu médecin légiste et consultant, il se retrouve impliqué dans des enquêtes de plus en plus complexes à la frontière entre médecine, criminologie, et intuition humaine.
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Commentaires (4)
Voilà un épisode qui m’a bien plu ! Cette fois, l’enquête s’épaissit, on ne passe pas d’un suspect à un autre mais on découvre des choses au fur et à mesure qui rendent l’ensemble intéressant. Le propos de l’enquête était aussi assez original avec ces espaces qu’on achète au-dessus des immeubles, l’histoire d’amour du capitaine était bien traitée… Bon épisode.
En fait, le tueur avait une " bonne " raison de tuer ces deux personnes. Car il n'y avait pas deux mobiles contradictoire mais seulement un seul : le coupable (Bu...) à fait ça pour éviter de perdre trop d'argent, des futurs projets, son honneur, sa notoriété … En tuant la vieille dame (et le pauvre homme dans la rue qui est une victime collatérale ...), le coupable a réussi à coincer les biens immobiliers et par conséquent les droits aériens dans une bataille juridique. Cependant le deuxième meurtre n'était pas justifier ... il comptait seulement récupérer les documents volés sur les ordinateurs de crainte que son erreur de calcul ne soit découverte. Le type assassiné à coup de couteau était donc la au mauvais moment au mauvais endroit, ce n'est pas un meurtre avec préméditation mais sa présence était dérangeante. Bref, Elementary sait le secret d'un scénario bien réussi ... il faut que ce soit facile tout en étant compliqué. Rien n'est laissé au hasard. Pour ce qui est des preuves, celles qui prouvent les erreurs de calculs sont irrecevables : car obtenu de manière illégale. C'est pour ça que le sang de coupable ne peut être recevable car le mandat n'est pas valable. Sherlock et Watson ont donc demander au directeur de " rendre les preuves irrecevables de manière officielle à la police ". Un épisode n'est pas fait à la va vite pour un public précis, dans Elementary il est méticuleusement écris et calculé ;)
Bah si ils avaient toutes les preuves suffisantes. Déjà il y avait l'empreinte de la chaussures (clairement c'est pas assez comme preuve mais c'est un plus) et puis surtout le sang donc l'ADN du mec qu'ils ont trouvés chez la vieille dame
il n'y a que moi qui trouve le dénouement un peu ridicule ? En fait ils prouvent que l'immeuble avait un défaut, que l'architecte le savait et donc avait toutes les raisons d'essayer de faire capoter le projet. Et ? Elles sont où les preuves pour les meurtres après ? Ils ont juste trouvé un mobile, mais je serais avocat si ils ont que ça je le fais libéré en moins 2. Mais c'est un souci qu'on retrouve de plus en plus dans les séries policière j'ai l'impression, ils s'en foutent si le dénouement est cohérent, tant que le spectateur sait qui est le meurtrier c'est bon !