L’épisode commence juste avant que l’épidémie de Covid-19 flambe. Puis, comme le reste de la Californie, Saint-Bonaventure est submergé par l’épidémie. Les médecins s’isolent de leurs proches pour ne pas risquer de les contaminer. Shaun est frustré de ne pas pouvoir voir Léa, qui était sur le point de réemménager avec lui. Il héberge Park, qui ne rentre plus à Phoenix. Andrews s’est aménagé un studio dans son garage. Claire et Lim sont devenues amies, suite au décès de Melendez. De nouveaux symptômes de la Covid ne cessent de se manifester, ce qui pousse les médecins dans leurs retranchements, surtout Shaun qui déteste l’imprévu. Lim se démène pour ne pas manquer de matériel. Glassman, lui, se désespère de devoir rester enfermé chez lui et sa relation avec Debbie en souffre. Les premiers patients contaminés arrivés à l’hôpital « pour une simple grippe » voient leur état s’aggraver.
On sait que les fans peuvent être difficiles à satisfaire, surtout lorsqu’il s’agit d’une œuvre aussi bien aimée qu’Avatar, le dernier maître de l’air, le dessin animé de Nickelodeon. Comme pour One Piece, ce serait vraiment une erreur de ne pas laisser une chance à cette adaptation en live action qui conserve bien l’essence de la série, les dilemmes moraux d’un jeune garçon qui a tout perdu et qui doit porter un fardeau bien trop lourd pour ses épaules. Dans un univers fortement inspiré du folklore chinois, où quatre royaumes symbolisant le vent, l’eau, le feu et la terre, vivaient en harmonie, un jour, l’un des royaumes et maître de l’élément feu a décidé de conquérir les autres royaumes. Pour les contrer, il n’y a véritablement qu’un seul ennemi, l’Avatar, maître des quatre éléments. Ce rôle est réincarné cycliquement dans chacun des éléments et actuellement, il s’agit d’Aang, un jeune apprenti moine au temple de l’air. Pour tuer l’Avatar, la Nation du feu décide de décimer tous les maître de l’air… Aang réussit à en échapper indemne par hasard, mais il se retrouve bloquer pendant 100 ans dans un bloc de glace. L’histoire commence quand un frère et une sœur le libèrent de son glaçon pour partir pour une grande quête. Les huit épisodes de la saison 1 d’Avatar, le dernier maître de l’air, sont à découvrir sur Netflix.
C’est vrai que le film adapté par M. Night Shyamalan avait laissé un goût amer en bouche. L’annonce d’une série live action avait plutôt été accueillie avec enthousiasme, en sachant que les créateurs originaux de l’animation Michael Dante DiMartino et Bryan Konietzko, faisaient partie de l’aventure. Des différends artistiques les ont fait se retirer du projet, pour finalement laisser la place à Albert Kim. Certes, en huit épisodes il n’y a pas tout ce qu’il y avait dans l’animation dont la saison 1 était composée de 20 épisodes, mais les personnages sont respectés, surtout Aang qui apparait comme un enfant qui partage une philosophie zen et toute l'émotion est également présente. Les autres personnages respectent tout autant leur référence, d’une Katara tenace qui se révèle être une grande guerrière à un Sokka maladroit au grand cœur. Zuko et Iroh ne sont pas en reste et se dévoilent petit à petit. Les acteurs y sont pour quelque chose car incroyable mais vrai : les principaux sont vraiment des enfants, ils sont colériques, irresponsables, curieux, affectueux, imprévisibles, ce qui colle à l’animation, et en plus sont véritablement issus de minorités. Côté adultes, la série a profité de caster toutes les têtes asiatiques connues de Daniel Dae Kim (Good Doctor) à Ken Leung (Old) en passant par Paul Sun-Hyung Lee(Kim’s Convenience) sans oublier les invités épisodiques comme Tamlyn Tomita, Utkarsh Ambudkar ou Danny Pudi. Les dialogues peuvent paraître simplistes, mais tout comme dans l’animation, ils réussissent à faire réfléchir plus profondément.
Passons aux choses sérieuses : la manipulation des éléments et les effets spéciaux. Eh bien ils n’ont pas à rougir pour un projet de Netflix à gros budget. Même si les créatures pourraient sembler plus intégrés à l’univers, Apa par exemple est plus que mignon. Les chorégraphies de combat sont également très belles. Oui, les connaisseurs pourront être frustrés de voir les raccourcis effectués, mais il s’agit clairement d’une adaptation, et parfois il faut rester tolérant pour peut-être prendre quelque chose d’autre chose d’autre. Et surtout, peut-être que cette adaptation s’adresse à un public différent, plus jeune, comme eux l’étaient aux débuts de l’animation et s'adapte à la société.
Commentaires (19)
Après toute une saison de GA (la pire d’ailleurs) à bouffer du Covid et du Meredith qui hallucine Derek c’est compliqué de ne pas lever les yeux au ciel quand on a du Claire qui hallucine Melendez. Heureusement que le covid n’est traité que sur les deux premiers épisodes parce qu’on en a eu largement notre dose dans un paquet d’autres séries 🥱 Du coup (pour la première fois) je n’ai pas été émue une seule fois vu que j’avais déjà vu les mêmes scènes copier/coller ailleurs
Cet épisode était vraiment bien. Encore plus touchant sachant que tout ça est réel. L'apparition de Melendez l'a rendu encore plus triste.
juste avant de regarder cet épisode j'ai regarder this Is us qui parler covid également alors quand j'ai vu l'introduction j'ai arrêté tout de suite l'épisode, ça en était trop. j'ai finalement repris plus tard et contrairement à this Is is j'ai trouvé ça bien amené peut-être car ça se passe dans le milieu médical je ne sais pas mais cet épisode ma prise aux tripes et émue à plusieurs reprises. il reste des incohérences mais ça reste de la fiction.
Travaillant à l‘hôpital, j’ai eu beaucoup de mal avec cet épisode. Je l’ai trouvé mal construit avant tout. Puis voir des médecins juxtaposer un masque FFP2 avec un masque chirurgical #nocomment Sans parler de leur tenu de cosmonaute que je trouve aberrante, car je peux vous assurer que nous n’avons pas ca à l’hôpital et que lorsque vous enchaîner 5/10 patients COVID, niveau hygiène il est impossible de se déplacer comme ca et faire le nombre de changement de tenue nécessaire. Bref, pour une personne travaillant à l’hôpital, cet épisode a été pour moi une sorte d’échec et pas vraiment représentatif de ce que nous avons vécu et ce que nous vivons encore.
Où avez vous pu voir ces nouveaux épisodes ? Merci
Le season premier de #TheGoodDoctor entièrement axé sur le début de l'épidémie de #Covid19 est tout simplement époustouflant. Il est certes dur par moment mais aussi terriblement pédagogue en montrant la réalité, le désarroi et l'incertitude des soignants.
ça m'étonnait qu'ils ne portent pas de masques dans les cas où ils pensaient que le patient n'était pas covid, mais c'était exprès pour ajouter une péripétie.
J'ai regardé cet épisode jusqu'au bout mais qu'est-ce que ça a été dur. Ça nous ramène tous a la réalité. Tout comme Shaun, le fait de ne plus pouvoir toucher une personne que j'aime me rend complètement dingue. Effectivement on se parle tout le temps, tous les jours, mais le manque physique reste malgré tout. J'espère qu'un jour on réussira à se sortir de cette merde de virus
Ils sont obligés de traiter ce sujet ! Cest comme this is us, cest une série qui mêle le médical et l'actualité.... Ca dure 2 épisodes, au pire vous les sautez! Moi je trouve ça bien, ça montre la réalité du virus, il faudrait tout montrer aux anti masques et à ceux qui continuent à faire nimporte quoi et à mettre en danger la vie des autres !
Ah j'étais pas prêt pour un épisode covid là ! XD
J'ai tenu 4 minutes : le COVID , on en mange aux infos, au travail, dans la rue... Si toutes les séries médicales sont sur ce thème, je vais sérieusement alléger mon planning de séries.
Très belle reprise pour un tournage particulier ! L’hommage aux soignants est fort. Des petites erreurs ici et là sur le port du masque et une très mauvaise scène d’intubation pas réaliste mais l’épisode reste une pépite sur le traitement du Covid en unité de soins. A voir le thème qu’abordera la seconde partie.