L’équipe de «Il était une fois» fait face aux conséquences de ce qui s'est passé dans l'épisode précédent. Rachel et Quinn se trahissent quand le réseau décide de s’en mêler. Les concurrents sont ébranlés quand de nouvelles informations leur sont révélées. Certains commencent à se douter que Rachel leur a menti.
L’Âge d’or, ou The Gilded Age en version originale, est bien plus qu’un drame en costumes : c’est un miroir tendu à une époque de bouleversements aussi scintillante que cruelle. Créée par Julian Fellowes (Downton Abbey), la série HBO Original – nommée aux Emmy® – revient pour une troisième saison très attendue, à partir du lundi 23 juin 2025 sur Max. Huit nouveaux épisodes pour continuer à explorer les jeux de pouvoir, les conflits de classe et les ambitions sociales dans le New York des années 1880.
L’Amérique traverse alors l’un de ses tournants les plus décisifs : fortunes éclatantes, mobilité sociale fulgurante… et résistance farouche des anciennes élites. Dans cette saison 3, la guerre de l’Opéra a laissé des traces. La vieille garde est affaiblie, et les Russell comptent bien en profiter : Bertha vise une récompense qui pourrait élever sa famille à des sommets, tandis que George joue gros dans un pari ferroviaire risqué. De l'autre côté de la rue, le ménage Brook est en crise. Agnes n’accepte pas la nouvelle indépendance d’Ada, devenue maîtresse de maison. Peggy, de son côté, croise la route d’un médecin de Newport – mais entre carrière littéraire et tensions familiales, l’avenir s’annonce complexe.
La force de The Gilded Age réside dans sa capacité à mêler l’intime et le politique. À travers les yeux de Marian Brook (Louisa Jacobson, dans son tout premier rôle à la télévision), on découvre les rouages d’une société codifiée, où chaque geste peut avoir des conséquences sociales. Face à elle, la flamboyante Bertha Russell (Carrie Coon, vue dans The Leftovers et Fargo) incarne l’obsession de reconnaissance et d’ascension. Christine Baranski, star de The Good Wife et The Good Fight, brille toujours en matriarche glaciale, tandis que Cynthia Nixon, bien connue pour son rôle dans Sex and the City et And Just Like That, apporte une sensibilité touchante au rôle d’Ada.
Commentaires (13)
Oh tiens Rachel commence à avoir des remords en fin de saison. Quel rebondissement ! Ce n'était jamais arrivé avant :O
Ce que Rachel fait me répugne mais ça me fascine à quel point elle arrive toujours à ses fins, comment elle est stratège et va toujours plus loin que ce soit dans ses manipulations ou dans le trash de ce qu'elle veux créer. Je ne m'attends pas à une happy ending où la méchante Rachel est punie, mais plutôt à une fin où elle arrive à prendre le pouvoir ou alors sombre complètement. Ca correspondrait plus à l'image que je me fait de cette série.
Rachel en roue libre totale !
Rachel qui passe tous les mecs de la saison, alors là franchement bravo! J'Ai bien hâte de voir ce qu'ils vont faire de cette bitch!
Pauvre Maya ... Rachel devient incontrolable ...
J espère que Rachel finira seule , elle est complètement psycho et salope par dessus le marché, Quinn est une gentille sainte à côté d elle maintenant, d accord c est son amie mais elle doit la virer c est plus possible ,pauvre Maya aussi la faire passer pour folle alors qu elle voulais juste aider Noëlle ..,, Roger a eu ce qu il méritait , depuis 2 épisodes je suis mal a l aise ça se voit que c est la fin les producteurs se lâchent
Crazy bitch ahahaha
C’est fou, elle a toujours besoin de les avoir tous. Je suis choquée qu’elle ne soit pas encore virée ... Rachel est vraiment devenue folle. Pauvre Maya qui passe de la victime à la folle 🙈
Rachel va bientôt prendre cher. Impossible qu’elle s’en échappe. Comme le dit Quinn, elle a cherché à supprimer sa conscience, ne pouvant pas « se soigner » dans les saisons précédentes. Je suis aussi partagé entre la voir souffrir et surtout arrêter de faire souffrir autour d’elle, et la voir sauvée.
C'est probablement une des séries qui me provoquent le plus de sentiments ambivalents : constamment entre la répulsion, le malaise et la fascination. J'adore les personnages : leur ambiguïté, leurs nuances, les relations malsaines qu'ils entretiennent. Rachel est un personnage extrêmement réussi, qui me rend totalement ambivalente, à l'image même de la série : je suis à la fois fascinée et écoeurée par ce dont elle est capable… et malgré les limites qu'elle franchit toujours un peu plus, et qu'elle déglingue complètement dans cet épisode, je ne peux pas la détester. L'aspect brisé, meurtri d'elle, son désespoir, me touchent. Une série que j'adore et déteste en même temps, et qui atteint son point culminant dans cet épisode sordide.
Rachel est tellement intelligente qu'elle sembler quasi sociopathe 🤔 Tommy est comme elle mais j'espère qu'il lui mettra à l'envers car elle mérite pas de bonheur avec tous les dégâts qu'elle fait autour d'elle.