Le réveillon du nouvel an. Sarah travaille – encore. Nick est son seul client – encore. Comme d’habitude, comme d’habitude. Sauf que cette année, leur compte à rebours jusqu’à minuit sera le plus étrange et le plus mortel qu’ils aient jamais connu. Pourquoi un bourreau Dalek s’en prend-il à ces deux personnes, à cet endroit, cette nuit-là ? Pourquoi doivent-ils vivre à nouveau les mêmes moments ? Le Docteur, Yaz et Dan pourront-ils les sauver et survivre jusqu’à la nouvelle année ?
La dernière production d’AppleTV+ vient parler de l’espace, ou plutôt des conséquences d’être allé dans l’espace. Constellation suit Jo (interprétée par Noomi Rapace), une astronaute qui revient sur Terre après une catastrophe spatiale et découvre que des éléments clés de sa vie semblent avoir disparu. Cette série d’aventure explore les confins sombres de la psychologie humaine et relate la lutte désespérée d’une femme pour dévoiler la face cachée des voyages spatiaux et retrouver tout ce qu’elle a perdu. Les deux premiers épisodes sont disponibles sur AppleTV+ sur un total de huit. Créée par Peter Harness (scénariste sur La guerre des mondes ou encore Doctor Who), l’intrigue complexe va mettre en question la frontière du rationnel.
L'astronaute suédoise Johanna "Jo" Ericsson (Noomi Rapace) fait partie d'une équipe de cinq astronautes internationaux qui effectuent une mission de recherche à bord de la Station spatiale internationale en orbite basse de la Terre. L'équipage, qui représente la NASA, Roscosmos et l'Agence spatiale européenne (ESA), est dans l'espace depuis près d'un an pour procéder à des expériences incluant le module de Cold Atom Laboratory de la NASA (un labo qui existe réellement et qui fait des recherches sur la physique quantique), sous la direction de Henry Caldera (Jonathan Banks), ancien astronaute de la mission Apollo. Quand une collision qui détruit une partie de l’ISS a lieu, le commandant de la station va mourir tandis que les autres rentrent à bon port au péril de leur vie. Mais de retour sur Terre, Jo se rend compte que tout ne colle pas par rapport à la vie qu’elle connait avec sa fille et son mari…
En lisant le synopsis, il est difficile de cerner vraiment de quoi va parler la série en soi. En tout cas, elle aborde des thèmes comme la maternité, la vision de la vérité de chacun. Mais dans le fond, la série a une ambition de parler de physique quantique. Est-ce qu’il y a plusieurs univers ? Qu’est-ce qui enclenche le passage dans un monde parallèle ? Le décor de l’ISS et de l’espace sont des fonds parfaits pour un mystère. On comprend rapidement que les deux plans miroirs qu’on voit avec un Henry directeur ou un Henry qui fait des conventions en tant qu’ancien astronaute sont deux réalités différentes. Mais que s’est-il passé alors pour Jo ? En tout cas, les acteurs, surtout Banks, jouent deux personnages différents, et toute la subtilité de leur qualité de jeu est indéniable.
Commentaires (11)
J'espère qu'ils ne vont pas nous refaire une histoire à la Rose... Sinon sympa mais sans plus.
Contrairement à beaucoup d'avis, j'ai vraiment aimé cet épisode. Étant personnellement très friande d'épisodes comportant des boucles temporelles (toutes séries confondues), celui-ci ne pouvait que me plaire. D'autant plus que la relation entre Yaz et le Docteur s'étoffe un peu, ce que j'attendais depuis longtemps (et que j'aurais aimé voir plus durant la saison Flux) !
Je sais que les Daleks se sont les ENNEMIS du Doctor. Mais je commence à avoir marre de les voir. On a l'impression qu'ils n'ont plus d'idée d'ennemis.
Quel plaisir de la voir se faire tuer plusieurs fois! Vivement qu’elle se barre et qu’elle soit remplacée 😁
Rythmé, parfois drôle. Bien mieux que toute la saison Flux mais ça reste pas super fou.
Bon épisode de nouvel an, plutôt fun. La La relation entre Yaz et le Docteur s'étoffe et décidément j'aime beaucoup Dan. Les daleks sont bien utilisés, surtout par rapport au final de la saison 13. Malgré tout je suis pas pressée pour les derniers parce qu'il en reste plus que deux avant de dire au revoir à 13 :/
Une légère amélioration par rapport à la saison 13, mais nous sommes encore à des années lumières de pouvoir dire qu’il s’agit d’un « bon épisode ». Ça tire en longueur, ça part dans tous les sens, bref, on s’ennuie ! Les personnages ont un charisme tellement proche du zéro absolu que je me suis surpris à espérer une victoire des Daleks.
Helaaaaaaa elles sont longues et incohérentes ces 8 minutes... C'est qui le gus a la fin qui filme tout seul ?