Holmes est appelé sur un double homicide qui ressemble à un braquage ayant mal tourné, mais Marcus suspecte une mise en scène : les victimes mettaient en scène un faux meurtre avant d'être abattues. Watson est occupée à gérer l'inquiétude grandissante de la taupe qu'elle a au sein des affaires de Morland Holmes.
Conçue comme un spin-off de l’univers de Sherlock Holmes, mais sans jamais en être prisonnière, elle propulse John Watson sur le devant de la scène, dans un rôle enfin à la hauteur de sa complexité.
Créée par Craig Sweeny (scénariste sur Elementary entre autres), Watson choisit une approche à la fois émotionnelle et pleine de suspense : celle d’un homme qui tente de se reconstruire après la perte de son partenaire légendaire, tout en replongeant dans l’univers des enquêtes criminelles. Le tout porté par Morris Chestnut, dont la performance subtile et incarnée donne une réelle caractérisation au personnage.
Watson commence alors que Sherlock Holmes vient de mourir dans des circonstances troubles. Pour Watson, c’est à la fois un drame personnel et une libération ambiguë : après des années à vivre dans l’ombre d’un esprit surdoué, il lui faut désormais affronter sa propre légitimité. Devenu médecin légiste et consultant, il se retrouve impliqué dans des enquêtes de plus en plus complexes à la frontière entre médecine, criminologie, et intuition humaine.
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Commentaires (2)
L’enquête est plutôt pas mal… Alors d’accord, on rebondit sans cesse de suspects en suspects, y’a des trucs un poil compliqué-tordu-tiré par les cheveux, c’est parfois un peu décousu (ils ont un chat, y’a plus de chat ; le père de Holmes tombe de temps en temps comme ça arrange…). Mais globalement, ça se suit bien.
C'était obligé pour Emil Kurtz !! Watson est dans le pétrin !