Joan est la principale accusée du meurtre de Michael Rowan et l'agent Mallick du FBI est persuadée de pouvoir le prouver. Sherlock reste convaincu du contraire et reprend l'enquête, qui va avoir de lourdes conséquences sur la relation entre les deux détectives et leur vie comme consultants pour la police de New York.
Conçue comme un spin-off de l’univers de Sherlock Holmes, mais sans jamais en être prisonnière, elle propulse John Watson sur le devant de la scène, dans un rôle enfin à la hauteur de sa complexité.
Créée par Craig Sweeny (scénariste sur Elementary entre autres), Watson choisit une approche à la fois émotionnelle et pleine de suspense : celle d’un homme qui tente de se reconstruire après la perte de son partenaire légendaire, tout en replongeant dans l’univers des enquêtes criminelles. Le tout porté par Morris Chestnut, dont la performance subtile et incarnée donne une réelle caractérisation au personnage.
Watson commence alors que Sherlock Holmes vient de mourir dans des circonstances troubles. Pour Watson, c’est à la fois un drame personnel et une libération ambiguë : après des années à vivre dans l’ombre d’un esprit surdoué, il lui faut désormais affronter sa propre légitimité. Devenu médecin légiste et consultant, il se retrouve impliqué dans des enquêtes de plus en plus complexes à la frontière entre médecine, criminologie, et intuition humaine.
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Commentaires (5)
Bien aimé cet épisode final. Evidemment, ça va un peu vite, Michael disparaît, revient, pouf il meurt, bam tout tombe sur Watson, une résolution hyper rapide tout ça… Mais dans l’ensemble, au moins, on ne s’ennuie pas ; tout s’explique ; la fin est parfaite pour recoller à l’Histoire et ramener Sherlock dans son appart’ Londonien. A se demander pourquoi ils ont fait une autre saison derrière tellement celle-ci finissait bien !
Ah purée, c'est la fille du Capitaine !!! C'est un flic quand même alors tuer Michael est pire. Et j'ai trouvé triste la réaction du capitaine face à Sherlock. Lui balancer que c'était de sa faute que Michael s'en est pris à eux. C'est un psychopathe à la fin.
Je viens de lire quelques articles et je comprends mieux pourquoi cette saison m'a semblé étrange et moins qualitative que les précédentes. > This season was initially ordered at 13 episodes; about six months later the order was extended to 21, a significant chunk of story to backfill. Early episodes of this season, believing they would be Elementary’s last, pulled out all the stops trying to bring the story to a close. The later episodes, which pushed the original two-part ending back, tried to match the subtly elegiac tone of the character beats in the season’s first half, and more or less succeeded. Source : https://tv.avclub.com/elementary-tries-out-an-ending-with-hope-for-whatever-1829128698 > "You're talking about a scene that killed me to write because it was my goodbye, too," showrunner Rob Doherty told TVLine. "I had to assume this was the end for the series. > > Doherty also admitted that he would have explored Michael further had he known they were getting more episodes, and teased what we can expect from the next season. Source : http://www.digitalspy.com/tv/elementary/news/a866470/elementary-season-6-finale-final-episode-sherlock-joan-love/ Ceci explique donc pourquoi la storyline de Michael est décousue et soudainement bâclée, pourquoi la saison manque de cohérence, pourquoi de nombreux épisodes donnent l'impression de n'être que du remplissage. C'est exactement ce qu'ils étaient. Et je me dis que CBS aurait mieux fait de s'abstenir.
Plutot pas mal comme final