L'agent du FSB susceptible d'aider Malotru est blessé au combat. En conséquence, Malotru perd espoir. Marina est abordée par Philippe, un homme qui prétend appartenir à la DGSE. L'homme veut en réalité recruter la jeune femme pour le compte du Mossad
La dernière nouveauté française sur Netflix est pleine d'ambition. Avec Furies de Jean-Yves Arnaud, il s'agit du meilleur démarrage pour une série française sur la plateforme après Lupin.
Pour conserver leur fortune et entériner leur pouvoir, les grandes familles de la pègre parisienne font appel à une tueuse pour éliminer les « obstacles » qui les empêcheraient de régner. Personne ne connaît son visage, mais tout le monde a déjà prononcé son nom : la furie. Lina est une jeune femme dont le père, en charge des comptes de la mafia, vient d’être éliminé sous ses yeux. Assoiffée de vengeance et convaincue que le meurtre de son père a été perpétré par la furie, elle va se mettre à la recherche de cette légende pour lui faire payer son geste. Une quête qui va l’amener à faire des découvertes auxquelles elle n’était pas préparée.
Furies est une série Netflix déclinée en 8 épisodes qui fait la part belle aux scènes d’action. Plutôt évident quand on choisit de baser son intrigue sur des tueuses, des gardiennes de l’ordre, appartenant à la pègre parisienne. Mais Furies place la barre haut en y insufflant beaucoup de rythme tant au niveau des mouvements des acteurs que ceux de la caméra. Des situations dans lesquelles on a peu l’habitude de voir Marina Foïs, qui joue Selma une des furies, une actrice qui oscille plutôt entre comédie et drame. Face à elle, Matthieu Kassovitz (Malotru dans Le Bureau des Légendes) interprète son frère, Driss. Un garçon né dans une lignée où seules les femmes comptent. En effet, les Furies appartiennent toutes à la même famille, se transmettant de mère en fille l’héritage de la violence. Lina (Lina El Arabi) représente d’ailleurs le futur des furies, obligée de plonger malgré dans un univers de violence et de corruption qu’elle a toujours cherché à fuir.
Commentaires (9)
Je me suis tranquillement glissé dans l’épisode. Au début, je le trouvais un peu lent, répétitif des deux précédents… Mais finalement, j’ai bien aimé que la première partie s’intéresse à des personnages qu’on voit un peu moins, d’habitude… Et chacun se développe bien. Malotru et ses hallucinations, excellent ; le russe, mystérieux ; Marina, drôle et intrigant ; Nadia el Mansour, pénible quand même… ; Cisteron qui se révèle autant que sa copine passe du mignon au relou ; Esrin qui est prometteuse… Bref, encore un très bon moment.
Quelle canon cet Esrin!!! Le retour de Phénomène !!YOUPPI!!
Bon Nadia j’en peux plus. Elle saute à la gorge de tout le monde, alors je veux bien comprendre qu’elle a passé des moments traumatisants, mais elle a fait des mauvais choix, qu’elle en assume les conséquences. Pas la peine d’être aussi mauvaise tout le temps
C’est la saison des supers repliques 😂 marie jeanne pas la peine de me prendre en sandwich 😃
J’aime beaucoup le personnage de Jonas. L’analyste. Sinon Marina n’a vraiment pas de chance. Le Mossad qui s’intéresse à elle. Et le FSB a Malotru. On ne chaume pas dans le milieu du renseignement !
Bernard Le Coq ! Il n'aurait pas pu mieux choisir pour endosser le rôle du père de Malotru. Ah, ça fait plaisir ! Manque plus que Yvan Attal ou Sandrine Kiberlain pour compléter le clin d’œil aux "Patriotes" :)
excellent !