Riggs et Murtaugh enquêtent sur la mort d’un Texas Ranger, tué dans le désert lors du transfert d’un prisonnier vers un tribunal texan. Leurs investigations les mènent sur la piste du département du shérif, dont certains adjoints sont pour le moins suspects. Retrouvant le prisonnier évadé chez l’un d’eux, ils le prennent en chasse, mais ce dernier est abattu par Barton, un shérif adjoint. Avery subit un chantage de la part du shérif pour le forcer à arrêter l’enquête.
La série est créée par le duo Brandon Margolis et Brandon Sonnier qui ont travaillé sur une autre série policière, Blacklist. LA’s Finest, en VO, cache une série dérivée du film Bad Boys 2 de 2003 avec Will Smith et Martin Lawrence. Dans ce second opus, Gabrielle Union joue Sydney 'Syd' Burnett, agent spécial, qui est la sœur de Marcus (Lawrence) et la petite amie de Mike (Smith). Dans la série, Gabrielle Union est désormais flic à Los Angeles. Elle se voit assistée par une nouvelle co-équipière jouée par Jessica Alba (Dark Angel). Au casting, on retrouve également des têtes connues des cinéphiles et sériephiles comme Zach Gilford (le timide Matt Saracen dans Friday Night Lights) ou encore Ryan McPartlin (le fameux Captain Awesome de Chuck).
Los Angeles Bad Girls a été diffusée sur la petite chaîne américaine Spectrum et nous permet de retrouver Jessica Alba qu’on avait laissée dans le rôle de Max Guevara dans Dark Angel en 2002. 20 ans plus tard, et après des caméos dans The Office ou un petit rôle dans The Spoils of Babylon, Jessica Alba trouve ici un rôle différent de tout ce qu’elle a pu jouer. Elle incarne Nancy, mère de famille divorcée et ancienne criminelle.
Avec les enquêtes policières dans chaque épisode, il y a également une enquête globale qui touche un des quartiers de Los Angeles, Koreatown. Le passé des deux jeunes femmes ressurgit aussi pour donner un fil rouge plutôt convaincant au gré des épisodes.
Commentaires (2)
Pas mal mais un peu brouillon. La voiture dans le salon je le sentais arriver. Tellement dans l'esprit des films!
Je remercie tellement cette série d'exister. C'est un guilty pleasure à fond, et en même temps, ça se tient. Il était un peu bancal, cet épisode, plein de moments de non-tension assez étranges, mais... quand ils mettaient le turbo, c'était à s'en bouffer les ongles. Avery est un personnage très intéressant, et je suis bien contente qu'il ait pas démissionné.