Une sphère qui pourrait être dotée d'intelligence prend Discovery au piège, tandis que Saru subit une transformation physique troublante, et que Tilly se fait posséder.
L’USS Cerritos reprend du service ! L’univers de Star Trek est vaste, intergalactique et divers. Depuis ses débuts en 1966, la franchise Star Trek a captivé les fans du monde entier avec son exploration de la frontière finale et ses valeurs humanistes. À travers les décennies, cette saga a évolué, et avec Star Trek Discovery, une nouvelle ère de Star Trek a commencé. Lower Decks fait partie de ce nouveau mouvement (RIP Prodigy) s’adaptant à son époque tout en préservant son héritage. Avec Lower Decks créée par Mike McMahan, on accompagne un équipage de « second contact » (une fois que les stars ont déjà instillé le premier) et de ses petits larbins, notamment Mariner (Tawny Newsome) et Boimler (Jack Quaid). Les voici tous sur Paramount+ avec une saison 4 en cours.
Ce qui distingue immédiatement cette série, c'est son approche unique et humoristique de l'univers Star Trek. Au lieu de se concentrer sur les officiers d'élite de Starfleet et leurs missions héroïques, Lower Decks se penche sur les membres moins connus de l'équipage, ceux qui travaillent dans les coulisses du vaisseau spatial de l’USS Cerritos. Cette perspective « sous le pont » offre une bouffée d'air frais à la franchise en explorant des angles comiques et satiriques de la vie à bord d'un vaisseau spatial. Les personnages principaux, sont hyper attachants les enseignes Mariner, Boimler, Tendi et Rutherford, sont des anti-héros maladroits qui font face à des situations absurdes permises par l’animation, tout en naviguant dans l'univers Star Trek avec moult références aux autres titres.
Star Trek: Lower Decks a réussi à s'inscrire de manière cohérente dans l'univers Star Trek tout en apportant une touche d'originalité. Les fans de Star Trek reconnaîtront instantanément les références aux épisodes précédents, aux espèces extraterrestres familières et aux valeurs fondamentales de Starfleet, telles que la diplomatie et l'exploration pacifique. La série a également présenté des apparitions spéciales de personnages légendaires de la franchise, renforçant ainsi son lien avec le canon de Star Trek.
Commentaires (10)
J'ai bien cru pendant un instant que l'acteur qui joue Saru en avait eu marre de tout ce maquillage et quittait la série. J'ai bien aimé Space Oddity :)
Numéro Un débarque et informe Pike que devant les problèmes techniques de l'Enterprise ils vont retirer tout les systèmes de communication holographiques pour rester avec les écrans : encore un rétropédalage pour expliquer les trous avec les autres star trek (mais ça reste illogique que ce soit que l'entreprise ?!). un épisode qui se centre sur un mystère spatial c'est très trekkie good. c'est drôle de les voir parler 36 langues mais ce n'est pas très logique, ça veut dire que le traducteur universel fait littéralement parler dans une autre langue ?!! Pas besoin de les apprendre alors... 😕 la nouvelle ingénieure à le côté corrosif dans son parler que Mac coy, d'ailleurs elle dit "je suis mécanicienne pas fermière". c'est bien qu'on en sache plus sur saru, mais c'est tellement soap avec burnam qui en fait trop que ça m'a soulé. quand au final concernant la "fausse vérité" des kelpiens cela met saru dans une position délicate vis à vis de la première directive il lui est toujours interdit d'intervenir mais l'ep 5 emmène le Discovery là bas et ils vont sans doute trouver une magouille qui j'espère tiendra la route. c'est quand même à se demander comment saru à quitté son peuple. Tilly ils pouvaient pas anesthésier localement erk. sinon nouvelle explication pour le fait qu'ils ne réutilisent plus ensuite le moteur sporique c'est good, bien que très manichéen. sur l'ensemble de l'épisode c'est un rythme trop rapide, des dialogues et personnages trop stéréotypés, c'est dommage les idées de bases sont bonnes. en quelques épisodes Discovery lance beaucoup d'histoires quand même, on aurait pu se passer des anges rouges à ce rythme, se concentrer et développer le reste plutôt que le balancer rapidement dans la tronche. j'espère que ces entités du circuit mycélien seront développés sur plusieurs épisodes voire la saison. bref épisode moyen, de bonnes idées mais narration pénible.
"Manque de rythme"? Je sais pas ce qu'il vous faut. C'était haletant.
Un épisode old school qui manquait de rythme
La partie avec Tilly bof pas bien passionnant...
Saru et Mickael, les nouveaux grands amis ! Et la chanson de Bowie chantée par Tilly, trop bien !
Saru serait-il le prochain grand méchant ?
Arc bien sympa avec Saru, mais j'aurai pas du lire ce putain d'article spoiliant son changement grrr Reste a savoir s'il va toujours garder autant d’empathie envers les autres
Tily qui chante Space Oddity de David Bowie trop génial ! On n’a toujours pas rattrapé Spock 🖖 mais on se rapproche !