Burnham et Adira visitent le monde natal de Trill dans l'espoir de percer les secrets emprisonnés dans l'esprit d'Adira. Retour sur l'U.S.S. Discovery, les efforts de Saru pour aider l'équipage à se reconnecter prennent une tournure surprenante.
Il est temps d’embarquer sur le Nautilus, le fameux sous-marin futuriste du Capitaine Nemo ! Dans la série estivale disponible gratuitement sur france.tv et sur France 2, le célèbre héros imaginé par Jules Verne est un prisonnier qui est parvenu à s’échapper de sa colonie pénitentiaire, non sans avoir dérobé, au passage, le fameux submersible. Sa quête ? Se venger de la Companie des Indes Orientales qui lui a tout pris. Mais les détenus qui l’accompagnent, improvisés soudainement marins, ne voient pas d’un très bon œil cette mission et commencent même à douter des intentions de Nemo. D’autant que, lors d’une collision maritime avec justement un navire de la Companie des Indes Orientales, Nemo décide, au grand désarroi du reste de son équipage, de prendre en otage femmes et enfants. Parmi eux, Humility Lucas, une jeune femme téméraire et particulièrement intelligente qui compte bien mettre tout son savoir en œuvre pour s’échapper du Nautilus.
Attaques sous-marines, poissons géants, rebondissements et trahisons : disons-le tout de go, Nautilus réunit tous les éléments d’une bonne série d’aventure ! Et parvient à garder le cap tout au long des dix épisodes que compte cette production internationale disponible sur france.tv et sur France 2. Une production destinée aux enfants certes, mais également aux fans – plus grands – de séries légères et rythmées qui trouveront ici de quoi satisfaire leurs envies. Il faut dire que Nautilus n’a pas lésiné sur la qualité aussi bien visuelle que scénaristique pour offrir un spectacle d’excellente facture. À commencer par le sous-marin éponyme qui, avec ses inspirations steampunk, offre une esthétique particulièrement travaillée. Un soin que l’on retrouve aussi au niveau de la faune marine, plus vraie que nature, qui ne manquera pas d’impressionner les plus jeunes ! Une réalisation tricéphale, assurée par Michael Matthews, Ben C. Lucas et Isabelle Sieb, et réussie qui sert des intrigues palpitantes se déroulant aussi bien sur une île tropicale que sous les eaux glaciales de l’Arctique.
Un voyage télévisuel qui transporte le téléspectateur aux quatre coins du globe, mais qui ne serait rien sans un cast savamment choisi ! Ainsi, Shazad Latif, acteur britannique vu dans Star Trek : Discovery, incarne à merveille Nemo, héros malgré lui, bien décidé à mener à bien sa quête malgré les obstacles qui vont jalonner son chemin. Face à lui, Georgia Flood interprète Humility, une jeune femme vive et débrouillarde qui va donner quelques leçons à l’équipage masculin. À ses côtés, Loti (Céline Menville), sa dame de compagnie habile et pleine de ressources, qui vient compléter ce duo de femmes, tout sauf en détresse. Et bien sûr, une série d’aventure ne saurait être, sans la présence de grands antagonistes, ici représentés par la Companie des Indes Orientales et les terribles Capitaine Youngblood (Jacob Collins-Levy) et Directeur Crawley (Damien Garvey). Tout est réuni pour que parents et enfants passent un bon moment !
Commentaires (19)
Ces clins d'oeil à Deep Space Nine, j'ai adoré! Sans oublier celui d'Enterprise à la fin!
I'm not crying, you're crying 😢
Alors j'ai aimé le côté sensible et poétique donnée à cette recherche de mémoire. Côté Disco c'était intéressant de parler un peu stress post traumatique, mais bon comme tout Discovery c'est traité avec les pieds, pathos et mentalité prepubère au programme. Sinon Discovery continue à piétiner ce que la saga a réalisé jusque là, clamant haut et fort qu'aucun humain n'a pu s'accorder avec un symbiote. Et Riker devenant Trill le temps d'un épisode ça compte pour du beurre peut être ? En plus si je me souviens bien la docteure lui disait que c'était une procédure de secours mais sans danger car déjà pratiqué. Bon et puis la vision Disco de la multiple personnalités Trill a quelque chose de manichéen et presque psychopathologique, bref comme d'hab la série y va avec ses gros sabots, là où j'aimais beaucoup les nuances apportés dans les anciennes séries.
J'adore comment il mette l'équipage en avant pour mieux les souder, apret davoir décider de partir 930 ans dans le futur, ce début de saison me plaît plutôt bien.
On se croirait dans Stargate avec des personnes adolescentes
Il est mignon le petit copain d'Adira (même s'il donne l'impression d'avoir 14 ans)
Quel ennui cet épisode ...
On a un nouvel Avatar, après Korra, Aang et co ! /o/ Visuellement, l'épisode était magnifique. Et il se passe plus de trucs qui font avancer l'histoire que dans un épisode de The Mandalorian dans un même laps de temps. Episode de transition, sans trop d'action, mais nécessaire. C'était cohérent qu'ils abordent le mental de l'équipe après ce qu'ils ont vécu, pour pouvoir repartir de bon pied ensuite. Assez intriguée par ce que va donner le reste de la saison.
Quel ennui cet épisode...
Les Trills et leurs symbiotes. C’était bien DS9 ! Pas fan du personnage Adira.
D’habitude j’adore chaque épisode, mais celui-là était bien ennuyant pour pas grand chose. À oublier très vite.
on fait beaucoup de surplace pour trouver ces malheureux coordonnées... Beaucoup trop de remplissage à mon goût...
Trop longue la quête pour retrouver la mémoire .
Je suis assez partagé sur cet épisode. Des moments intéressants sur Discovery mais pour le trill ce fut long. Déjà dans Voyager je ne trouvais pas le sujet super intéressant. En revanche c'est toujours aussi beau