Burgred, jeune frère de la princesse Kwenthrith, et son armée sont défaits à leur tour par l'armée de Ragnar. Mais lors de l'assaut, Þórunn est très gravement blessée au visage et risque la mort. En voyant Bjorn se lamenter, Ragnar le sermonne très violemment en lui disant qu'elle va probablement mourir alors qu'elle porte son enfant et que cela serait de sa faute car il n'agit pas comme un vrai homme. De son côté, le roi Ecbert continue de courtiser Lagertha tandis que Athelstan et la princesse Judith semblent éprouver des sentiments l'un pour l'autre.
À Kattegat, l'arrivée de Harbard, le vagabond, apporte un peu de distraction. Il arrive notamment à calmer et soulager de ses souffrances du dernier fils d'Aslaug, alors qu'elle-même avait des difficultés pour y arriver. Lorsqu'un évènement dramatique survient, seule Siggy reste méfiante et pense qu'il a un lien avec Harbard.
Spartacus : House of Ashur, disponible en exclusivité en France et à l’heure US sur la chaîne OCS à partir du 6 décembre 2025 et disponible à la demande avec CINE+ OCS, s’impose comme le grand retour de l’univers épique créé par Steven S. DeKnight.
Propulsée par Rick Jacobson à la réalisation et par Steven S. DeKnight à l’écriture et à la production, cette nouvelle série américaine de dix épisodes (60 minutes chacun) nous plonge dans un récit alternatif où Ashur — incarné par Nick Tarabay, déjà mémorable dans Spartacus mais aussi vu dans The Expanse — aurait survécu et aurait été récompensé pour sa trahison.
Le point de départ est aussi audacieux que jubilatoire : libéré de l’esclavage, Ashur se retrouve maître du ludus où il combattait autrefois. Il grimpe les marches du pouvoir romain, un univers où la perfidie n’est pas un défaut mais une stratégie. Le jeu politique devient son véritable terrain de combat, plus dangereux encore que l’arène. Dans ce monde où chaque sourire cache une lame, Ashur introduit un élément explosif : Achillia, gladiatrice farouche incarnée par Tenika Davis, que les abonnés auront peut-être croisée dans Jupiter’s Legacy ou plus récemment dans Ça : Bienvenue à Derry. Une guerrière prête à affronter un univers d’hommes et à redéfinir le spectacle gladiatorial sous un angle aussi brutal que subversif. Ensemble, ils créent une forme de divertissement sanguinaire qui choque l’élite romaine et redistribue les cartes du pouvoir.