Dans la dimension des Kasaavins, le Docteur rencontre la pionnière de l'informatique Ada Lovelace. Elle lui prend la main lorsqu'un Kasaavin apparaît, les transportant vers une exposition d'invention en 1834, où ils rencontrent le Maître.
La dernière production d’AppleTV+ vient parler de l’espace, ou plutôt des conséquences d’être allé dans l’espace. Constellation suit Jo (interprétée par Noomi Rapace), une astronaute qui revient sur Terre après une catastrophe spatiale et découvre que des éléments clés de sa vie semblent avoir disparu. Cette série d’aventure explore les confins sombres de la psychologie humaine et relate la lutte désespérée d’une femme pour dévoiler la face cachée des voyages spatiaux et retrouver tout ce qu’elle a perdu. Les deux premiers épisodes sont disponibles sur AppleTV+ sur un total de huit. Créée par Peter Harness (scénariste sur La guerre des mondes ou encore Doctor Who), l’intrigue complexe va mettre en question la frontière du rationnel.
L'astronaute suédoise Johanna "Jo" Ericsson (Noomi Rapace) fait partie d'une équipe de cinq astronautes internationaux qui effectuent une mission de recherche à bord de la Station spatiale internationale en orbite basse de la Terre. L'équipage, qui représente la NASA, Roscosmos et l'Agence spatiale européenne (ESA), est dans l'espace depuis près d'un an pour procéder à des expériences incluant le module de Cold Atom Laboratory de la NASA (un labo qui existe réellement et qui fait des recherches sur la physique quantique), sous la direction de Henry Caldera (Jonathan Banks), ancien astronaute de la mission Apollo. Quand une collision qui détruit une partie de l’ISS a lieu, le commandant de la station va mourir tandis que les autres rentrent à bon port au péril de leur vie. Mais de retour sur Terre, Jo se rend compte que tout ne colle pas par rapport à la vie qu’elle connait avec sa fille et son mari…
En lisant le synopsis, il est difficile de cerner vraiment de quoi va parler la série en soi. En tout cas, elle aborde des thèmes comme la maternité, la vision de la vérité de chacun. Mais dans le fond, la série a une ambition de parler de physique quantique. Est-ce qu’il y a plusieurs univers ? Qu’est-ce qui enclenche le passage dans un monde parallèle ? Le décor de l’ISS et de l’espace sont des fonds parfaits pour un mystère. On comprend rapidement que les deux plans miroirs qu’on voit avec un Henry directeur ou un Henry qui fait des conventions en tant qu’ancien astronaute sont deux réalités différentes. Mais que s’est-il passé alors pour Jo ? En tout cas, les acteurs, surtout Banks, jouent deux personnages différents, et toute la subtilité de leur qualité de jeu est indéniable.
Commentaires (11)
Quelle catastrophe. L’histoire est poussive, la réalisation maladroite, les effets spéciaux dignes de ceux de 2005… Vraiment, c’est un bond en arrière en termes de qualité et c’est du gâchis vis-à-vis de Whittaker qui est clairement sous-exploitée.
Hier soir j'ai enfin regardé le double épisode inaugurale de la S12 de #DoctorWho et quel régal ! Sacha Dhawan est d'une perfection dans le rôle du maître ! Ces 2h sont intenses, rythmés, laissant plus de place à la vulnérabilité du Doctor et aux liens avec ses compagnons
La disparition de Gallifrey + un fil rouge, c'est pas mal comme début de saison ! Attendons de voir la suite :)
Pas trop fan de ce début de saison... je sais pas
J'ai baillé et je me suis endormie à la vision de ces nouveaux épisodes de la saison 12. C'est vrai qu'il faut s'adapter à chaque changement de "docteur" ; on peut les aimer plus ou moins mais jusqu'à présent il y a avait un fil rouge dans l'évolution du docteur. Ici je ne le vois pas. Ce qui faisait aussi le charme des autres saisons est la relation qui se tissait avec le compagnon. Cela créait une tension psychologique particulière et ajoutait un ressort dramatique à chaque des saisons. Là tout est dilué avec ces compagnons "à l'eau de rose". Le suspens est rare, il n'y a plus d'étincelles que ce soit pour les acteurs (et pourtant j'aime bien Jodie Wittaker habituellement) ou le scénario. Il y avait un côté épique, des histoires extraordinaires, parfois des situations tragiques auxquelles il était possible de (se laisser) croire. Le docteur pouvait être cynique, méchant, désagréable... Là on est chez les bisounours quasiment. A part les méchants aliens ! Bref je suis totalement déçue par ce début de saison. Vivement le prochain docteur ou le prochain scénariste ou le prochain metteur en scène !
Un peu de mal avec cette version du Master, vraiment fade comparée aux versions de Michelle Gomez et John Sim... a voir comment ça évolue !
Passionnant. Tellement mieux qu'avec Missy. Chibnall fait vraiment un super taf. Ca me rappelle l'ère Russell T. Davies, en moins bien certes, mais ça c'était la grande époque !
J'y arrive pas, dans la continuité de la 1ere saison avec La doctoresse, c'est plein de bonne volontés mais rien n'en sort de naturel ou intéressant.
Bon j'avais adoré Michelle Gomez alors que je ne suis pas fan du Master, et la fin de l'épisode un m'avait donné espoir, mais je ne suis pas fan de son interprétation du Master, trop sérieuse, trop dans la colère pour le personnage. C'est dommage. :/ Au final je trouve la résolution assez bof... Même si le thème sur les données, la privée et le parallèle avec la Russie étaient intéressants. Mais l'intrigue sur Gallifrey me fait beaucoup envie !
J'ai du mal avec Sacha Dhawan en Maître, je le trouve trop colérique et il surjoue beaucoup. Je jugerai sur la saison complète pour sa prestation mais pour le moment on est loin d'avoir le charisme, l'élégance et la prestance de Roger Delgado ou Michelle Gomez. L'intrigue sur L’Éternel Enfant m'intéresse mais j'espère que ça ne va pas discréditer toute la série avec cette histoire de mensonge. Déjà que depuis la saison 11, j'ai quand même l'impression de regarder autre chose que Doctor Who parfois. J'aime bien Jodie Whittaker et ce n'est pas elle le problème.