Le comportement d'un producteur de théâtre passe du stade de très nerveux à démoniaque. Kristen, David et Ben doivent donc évaluer la situation pour établir un plan d'action...
Une chose est sûre : la critique est unanime sur la qualité d’Evil. Et pourtant, elle reste trop méconnue même parmi les sériephiles. C’est donc le moment avec l’arrivée de la saison 2 et 3 sur Paramount+ de vous (re)parler de ce petit bijou d’écriture. Jusque-là, seule la saison 1 était dispo.
Comme toutes les séries de Robert et Michelle King, sur le papier, le concept semble assez classique : une série de network à l’ancienne avec des affaires hebdomadaires que notre trio principal démêle entre possession démoniaque ou arnaque douce. Il y a des têtes connues dans le casting, Michael Emerson (inoubliable dans Lost) par exemple, monsieur Luke Cage lui-même (Mike Colter qui avait déjà collaboré sur The Good Wife), Aasif Mandvi dont le nom est peut-être inconnu mais dont le visage vous rappellera quelqu’un, et bien sûr Katja Herbers vue dans Westworld ou encore dans Divorce.
Ces trois derniers forment le trio principal composé d’un apprenti-prêtre croyant, d’une psychologue médico-légale franchement sceptique et d’un informaticien qui fait au contraire tout pour prouver que tout est faux, ils sont financés par l’église catholique pour débusquer les histoires de possession démoniaque. C’est ce que propose Evil sur CBS outre-Atlantique.
Commentaires (3)
si Leland peut brouiller sa voix sur le tél de Kristen, pourquoi ne le fait-il pas en live sur l'avocate ? Les filles de Kristen sont souvent menacées, pourquoi par son mari au Nepal ?
Bon définitivement je suis captivé par #Evil. On trouve la pâte si sublime des King dans l'écriture et le rythme et la dynamique entre les personnages est juste magnifique. Pour le moment le côté procédurier n'est pas gênant au contraire
Superbe épisode avec pas mal de choses inexplicables, de nouveaux mystères. Je commence à avoir ma petite idée sur Townsend...