L'équipe rencontre une fillette de neuf ans, Mathilda, qui est apparemment hantée par un djinn, un esprit de la foi islamique.
Une chose est sûre : la critique est unanime sur la qualité d’Evil. Et pourtant, elle reste trop méconnue même parmi les sériephiles. C’est donc le moment avec l’arrivée de la saison 2 et 3 sur Paramount+ de vous (re)parler de ce petit bijou d’écriture. Jusque-là, seule la saison 1 était dispo.
Comme toutes les séries de Robert et Michelle King, sur le papier, le concept semble assez classique : une série de network à l’ancienne avec des affaires hebdomadaires que notre trio principal démêle entre possession démoniaque ou arnaque douce. Il y a des têtes connues dans le casting, Michael Emerson (inoubliable dans Lost) par exemple, monsieur Luke Cage lui-même (Mike Colter qui avait déjà collaboré sur The Good Wife), Aasif Mandvi dont le nom est peut-être inconnu mais dont le visage vous rappellera quelqu’un, et bien sûr Katja Herbers vue dans Westworld ou encore dans Divorce.
Ces trois derniers forment le trio principal composé d’un apprenti-prêtre croyant, d’une psychologue médico-légale franchement sceptique et d’un informaticien qui fait au contraire tout pour prouver que tout est faux, ils sont financés par l’église catholique pour débusquer les histoires de possession démoniaque. C’est ce que propose Evil sur CBS outre-Atlantique.
Commentaires (3)
Et donc?? C’est pas la première fois que la fin d’un épisode fini en suspens… ça gâche tout
Cette saison #Evil flirt plus que jamais entre imaginaire/psychologique et réel/conviction. Ce sujet de dupe et de tromperie est tout simplement magistral offrant de véritable moment onirique saisissant. Les King nous délivre là une écriture d'une finesse inégalé, un régal !
J'ai comme la drôle d'impression que Kristen semble possédé par moments, à chaque fois notamment qu'elle voit cet homme de feu. Et l'exorcisme sur la fille n'a pas super bien marché !