Après l'affrontement sanglant de Cottonmouth et Scarfe, Luke réalise que sauver la communauté peut transformer les anciens alliés en ennemis, et les ennemis en alliés.
Une chose est sûre : la critique est unanime sur la qualité d’Evil. Et pourtant, elle reste trop méconnue même parmi les sériephiles. C’est donc le moment avec l’arrivée de la saison 2 et 3 sur Paramount+ de vous (re)parler de ce petit bijou d’écriture. Jusque-là, seule la saison 1 était dispo.
Comme toutes les séries de Robert et Michelle King, sur le papier, le concept semble assez classique : une série de network à l’ancienne avec des affaires hebdomadaires que notre trio principal démêle entre possession démoniaque ou arnaque douce. Il y a des têtes connues dans le casting, Michael Emerson (inoubliable dans Lost) par exemple, monsieur Luke Cage lui-même (Mike Colter qui avait déjà collaboré sur The Good Wife), Aasif Mandvi dont le nom est peut-être inconnu mais dont le visage vous rappellera quelqu’un, et bien sûr Katja Herbers vue dans Westworld ou encore dans Divorce.
Ces trois derniers forment le trio principal composé d’un apprenti-prêtre croyant, d’une psychologue médico-légale franchement sceptique et d’un informaticien qui fait au contraire tout pour prouver que tout est faux, ils sont financés par l’église catholique pour débusquer les histoires de possession démoniaque. C’est ce que propose Evil sur CBS outre-Atlantique.
Commentaires (8)
Le deuxième flic est quand même sacrément débile
Dommage Scarfe était un personnage intéressant.
Bien rythmé cet épisode ! L'alchimie entre Claire et Luke, la référence à Jessica Jones, les flics... Sympa :)
Sympa le clin d'oeil à Jessica Jones dans l'intro ^^
Point positif Le personnage de Claire sauve l'épisode. Point négatif L'intrigue concernant le flic.
One down, one to go ? Encore du très bon ! Je savoure cette série ! ^_^
Une bonne évolution de l'intrigue, un rapprochement de Claire et Luke bien amené, le scénario est maitrisé. Claire pose les questions des limites de Luke et les méthodes alternatives proposées par Mariah vont enfin amener plus d'enjeu dans la série. Et par dessus tout le cadre global dans lequel se situe la série, évoquant la magouille et la corruption policière, avec les conséquences qu'a eu l'arrestation de Fisk, les institutions que ce soit la police ou les hôpitaux (de hell's kitchen) qui chient dans leur froc à l'idée que l'opinion apprenne la vérité... La clé USB jaune détenue par Reeva concernant les expériences de la prison Seagate, et probablement d'autres informations... Le tout s'imbrique dans un univers étendu qui crée une peinture globale des problèmes que rencontre les bas fond de NY pendant que les avengers sont occupés à faire tomber les E.T. J'adore ce côté héros et anti-héros urban-street touch à l'intérieur du quotidien des gens ordinaires créés par Netflix, et donne vraiment envie de découvrir ce qu'a à offrir Netflix sur l'avenir de ces personnages évoluant ensemble. Chez Marvel que ce soit au cinéma où en série, ils ont montré qu'ils maitrisaient la création étendue d'une mythologie cinématographique en exploitant l'univers de leur comics. ps : le film des 4 fantastiques n'ayant jamais existé, cela va de soi.
même si ça ne durera pas, cet arrestation fait plaisir