A violent incident raises questions about Robin’s future with the local police, but she won’t let go of the case. She locates a friend of Tui’s who refuses to speak a word to anyone. He is accused of disrespect, but Robin believes there are deeper motives at play. His silence may hold a clue to Tui’s disappearance and she’s determined to earn his trust. Robin is also contacted by a pathologist who has investigated several cases for the local police. He tells Robin about additional evidence with potentially powerful implications, and she finds herself ever more committed to getting to the bottom of Tui’s case. At the same time, she begins to exhume long-buried memories with Johnno. He hints at a tragic secret from their past that could threaten the future of their relationship and her work on the case.
À l’occasion de la diffusion du dernier épisode de The Undoing sur OCS, Kevin Elarbi revient sur la série dans une nouvelle émission EntourageS. Dans une chronique garantie sans spoiler, il revient sur la genèse du projet : la rencontre de David E. Kelley et Nicole Kidman sur Big Little Lies mais aussi le casting de son homologue, Hugh Grant. L’actrice s’épanouit depuis plusieurs années à la télévision où sa carrière connait un second souffle depuis Top of The Lake. Par sa dimension psychologique et introspective, la série permet à l’actrice de s’investir d’avantage dans ses personnages et ça se ressent à l’écran.
C’est aussi l’occasion de revenir sur la carrière de David E. Kelley, qui depuis 40 ans joue avec les codes des récits féminins, du système judiciaire avec toujours en toile de fond, la ville. Dans quelles autres séries du créateur peut-on retrouver des éléments dans The Undoing ? Quelles thématiques semblent traverser toute son oeuvre ?
Une émission pour faire le point alors que la série est désormais disponible en intégralité à la demande sur OCS.
Commentaires (7)
le visage de la mère qui se décompose à chaque fois... j'ai alors pensé à un truc mais ça ferait soap... Tui qui se cache sur la petite île : la bonne nouvelle. Le père l'a connait peut-être mieux qu'on pourrait le croire. Et qui serait le père ? celui qui l'est déjà ? Ceux qui sont plongés dans ce type de drame familiaux, force à eux... Sinon, la drogue dure dans le vagin de l'ado, on sait d'où elle vient... Quant au N+1 qui demande en mariage celle qu'il a virée 48h plus tôt après l'avoir fait boire un vin étonnement étourdissant... je ne sais pas qui est le plus camé des deux... conversation lunaire...
Toujours lourd, opressant, superbement réalisé... On se plonge dans les diverses histoires et travers avec d'autant plus de facilité et plaisir que les choses ont toutes été bien posées et qu'elles n'ont plus qu'à se dérouler avec leur lot de surprises et de petites découvertes sans jamais savoir qui est blanc ou noir dans cette histoire où tout se mélange ingénieusement...
Epatante Elizabeth Moss !!
Vraiment sordide comme histoire...
C'est vraiment très prenant comme ambiance. L'atmosphère est à la fois lourde, lente et pourtant on se laisse vraiment happer. La scène d'ouverture est relativement longue et pourtant ça passe comme une ligne continue. Comme le dit @Teproc, il y a un calme indescriptible qui va parfaitement au lieu, à la Nouvelle-Zélande. Et Elisabeth Moss est en effet grandiose, c'est très impressionnant !
Dites donc, elle aurait pas quelque chose à voir dans la disparition de Tui la Anita ?
Mon Dieu. Je crois honnêtement que je n'ai jamais été aussi affecté émotionnellement en regardant une série. Le fait que tout soit si calme fait que je ne me sens pas manipulé une demi-seconde, alors que c'est le genre de contextes qui sont très délicats à gérer à l'écran (la quasi-absence de musique marche vraiment bien ici). Et Elisabeth Moss est juste incroyable. Incroyable.