Roscoe Joyce, un ancien musicien vivant dans une maison de retraite, reçoit la visite de son fils, mort depuis vingt-cinq ans. Ce dernier a été envoyé par un homme chauve en costume sombre pour transmettre un message à son père. Ainsi commence la mission que s’est fixée l’Observateur : rectifier le cours des évènements et, en mettant Walter Bishop à l’épreuve, savoir si le moment venu, il sera prêt à sacrifier Peter.
On l’a accusée de n’être qu'un ersatz de X-Files mais Fringe a réussi en 5 saisons à trouver sa propre voie. Diffusée entre 2008 et 2013 sur la FOX (et sur TF1 en France), la série a traversé bien des phases pour prétendre au statut quasi culte qu’elle a aujourd’hui. De ses débuts peu encourageants il faut le dire, elle a rectifié le tir pour devenir une vraie série de science-fiction convaincante.
À l’occasion de la mise en ligne de ses 5 saisons sur Amazon Prime Video en juin, on vous dit pourquoi il est temps de voir (ou revoir) Fringe.
Oui, Fringe est une série à mythologie. Peu étonnant quand on connait J.J. Abrams, mais celle-ci a le mérite d’être claire et prenante. Alors que la première saison propose un format dit procedural, racontant une enquête par épisode à la X-Files (toujours elle), Fringe met progressivement en place dès sa seconde saison un arc narratif qui englobe toute la série. On ne voudrait absolument pas spoiler mais entre la première et la cinquième saison, la différence de ton et d’univers est vertigineuse. En creusant des thématiques qui impactent en profondeur ses personnages et leur monde, Fringe s’est bonifié d’année en année en trouvant sa tonalité au croisement de la hard SF, de l’horreur et du drame intime. On vous conseille de persévérer, c’est LA série du hope watching par excellence.
Commentaires (17)
Je n'ai pas compris en quoi Walter était prêt à laisser Peter mourir.
Un scénar captivant et beaucoup de clin d'oeil. On en apprend peu sur le fil rouge de Fringe malgré la présence des observers, mais un épisode bouche trou très plaisant.
Un épisode qui n'avait rien de spécial malgré la présence de Christopher Lloyd...
Doc oc qui nous raconte une histoire de voyage dans le temps !!!! Arf ! On s'éclate chez les scénaristes !
On retrouve avec plaisir les Observateurs mais le scénario est moyen. Faut dire qu'on est habitué à fort depuis le début de la saison 3. Mais quel plaisir de retrouver le doc de "retour vers le futur" !!!
Super épisode ! Christopher Llyod dans la série, quel bonheur !
C'est encore meilleur cette série ! Vivement la suite !
Le battement d'aile du papillon ... marrant :p Un bon retour !
Sympa, le retour des MIB était prévisible. J'ai adoré le petit clin d'œil à Twin Peaks, lorsque Walter porte ses lunettes rouge et bleu "inventée par son collègue de Washington, le Dr. Jacobi" !
Ca aurait pu être un excellent épisode, mais je pense que tout était trop prévisible, même la scène où Joyce parle à Walter de l'accident. Et puis il y'aura une saison 4, il n'y a pas eu de confirmation officielle mais ca me paraît évident.
Oui, une saison 4 ! o/ Parce que cet épisode est très bon : peu d'effets spéciaux, mais une intrigue captivante qui se déroule tout doucement, avec un final qui laisse pantois. Et de voir Doc Brown larguer par une histoire de voyage temporel ... le clin d'oeil est énorme !
Episode plutôt bon j'ai trouvé, notamment dans le traitement des personnages (la scène où Joyce dit à Walter comment son fils a été tué, OMG). Et sinon pour son déplacement au vendredi soir, Fringe a cartonné (leader sur les 18-49 ans tous network confondus). Si ça continue dans les prochaines semaines, on aura peut être une saison 4 ! :D
Episode très faible et décousu, et on apprend pas grand chose sur les observateurs. Décevant retour, l'intention est bonne mais le résultat est un échec, d'un autre côté après un tel début de saison, il fallait bien un moment de flottement, et on l'a.
On commence à en savoir un peu plus sur les observateurs, et leurs histoire avec Walter ! J/J Abrams nous fait avancer un peu plus vite que dans Lost :p
In an obvious place... next to the mayonnaise ! Du Walter tout craché...