Lorsque Michael se lance dans une imitation de Chris Rock, un comique américain très populaire, la plupart des employés se sentent offensés. Du coup, le siège propose à tous les membres de la filiale de suivre une formation pour gérer la diversité dans l'entreprise et en faire un atout majeur. Mais cette formation, dispensée par un certain M. Brown, ne plaît pas à Michael, qui décide de l'adapter à sa sauce et tente une démonstration de ses talents de comique... De son côté, Jim perd l'une de ses plus grosses commissions annuelles.
Jury Duty c’est un concept un peu étrange, imaginez un jour être sélectionné pour être membre d’un jury. Déjà là il y a deux types de personnes, celles qui n’ont aucune envie de participer et celles qui rêvent de recevoir la lettre, bref, passons. Ronald, lui n’a rien demandé, mais il va se présenter au tribunal comme indiqué dans sa convocation afin d’être retenu ou pas (surprise, il est retenu) pour servir comme juré. La seule chose qu’il ne sait pas, c’est que pour lui, il s’agit d’un vrai jury alors que parmi ses co-jurés… tout le monde est acteur, et ils savent pertinemment y compris la « star » connue de la série, James Marsden qui joue évidemment son propre rôle avec une personnalité exagérée, qu’il s’agit d’un faux procès. Tout le monde, sauf Ronald donc. À partir de là, vont s’enchaîner des moments incroyables d’humour et de solidarité, ainsi que de gêne.
Jury Duty est disponible sur Prime Video.
Vous l’aurez compris, Jury Duty n’est pas complètement une télé-réalité, ni complètement une fiction et rentre dans la catégorie des programmes semi-scriptés. La place de l’improvisation est prépondérante puisqu’il n’y a pas de seconde prise dans le concept de la série qui est une sorte de workplace comedy à la The Office (d’ailleurs sur l’affiche, c’est indiqué que les producteurs sont derrière, mais pas les plus connus). Les acteurs sont forts, très forts. Certains ne sont pas des acteurs professionnels d’ailleurs, prenons celui qui joue le juge par exemple, qui est tout simplement un véritable juge retraité qui a participé à la série. Mais d’autres, à part James Marsden, vous sont peut-être familiers, notamment Mekki Leeper vu récemment dans The Sex Lives of College Girls ou encore Kirk Fox croisé dans de nombreux titres.
Commentaires (11)
Steve Carrel est hilarant vraiment ! Absolument gênant ce patron de bureau ! J’adore Jim et Dwight,je sens que ces deux-là vont nous sortir des masterclass !
Justement c ça le concept. L'histoire d'un patron très gênant
C'est grave cringe. Le racisme c'est pas du tout drôle en fait hein ?
assez moyen pour le moment, j'espère que la série décolle prochainement...
Tout comme le pilote, ce 2ème episode a 30 secondes de géniale : la musique de son générique. Le reste n’est absolument pas intéressant, toutes les blagues tombent à plat. On n’a pas envie de s’attacher aux personnages. Steve Carrell est bien sur antipathique comme l’était Ricky Gervais dans la version U.K. et il le joue plutôt bien mais Ricky Gervais reste quand même largement au dessus.
Comme pour le premier épisode. De bonnes idées, mais des moments de trou ou vraiment gênant..
Steve Carell est flippant !!
"- Do you want to get high ? - No. - I think you do." Je commence à bien aimer, doucement mais sûrement ^^
Notre cher Scott et la claque monumentale signée Kelly rêt cardiaque.