Lorsque Michael se lance dans une imitation de Chris Rock, un comique américain très populaire, la plupart des employés se sentent offensés. Du coup, le siège propose à tous les membres de la filiale de suivre une formation pour gérer la diversité dans l'entreprise et en faire un atout majeur. Mais cette formation, dispensée par un certain M. Brown, ne plaît pas à Michael, qui décide de l'adapter à sa sauce et tente une démonstration de ses talents de comique... De son côté, Jim perd l'une de ses plus grosses commissions annuelles.
S’il y a une comédie qui ne cherche ni la rédemption de ses personnages, ni l’émotion facile, c’est bien It’s Always Sunny in Philadelphia. Depuis 2005, la série imaginée par Rob McElhenney s’impose comme l’un des ovnis les plus tenaces du paysage télévisuel. Au fil des saisons, elle a su conserver une liberté de ton rare, en s’amusant avec les pires travers de l’âme humaine — le tout dans un bar irlandais en ruine de Philadelphie.
Et bonne nouvelle : cette nouvelle saison débarque en France sur Disney+ dès le 10 juillet.
Charlie, Dennis, Mac, Dee et Frank : cinq personnalités aussi dysfonctionnelles qu’inoubliables. Interprétés par un casting aussi engagé que talentueux (Danny DeVito en tête), ils forment une équipe d’arnaqueurs minables, constamment embarqués dans des plans foireux. Ce sont eux qui font toute la saveur de la série : antipathiques au possible mais toujours capables d’arracher un éclat de rire.
Commentaires (11)
Steve Carrel est hilarant vraiment ! Absolument gênant ce patron de bureau ! J’adore Jim et Dwight,je sens que ces deux-là vont nous sortir des masterclass !
Justement c ça le concept. L'histoire d'un patron très gênant
C'est grave cringe. Le racisme c'est pas du tout drôle en fait hein ?
assez moyen pour le moment, j'espère que la série décolle prochainement...
Tout comme le pilote, ce 2ème episode a 30 secondes de géniale : la musique de son générique. Le reste n’est absolument pas intéressant, toutes les blagues tombent à plat. On n’a pas envie de s’attacher aux personnages. Steve Carrell est bien sur antipathique comme l’était Ricky Gervais dans la version U.K. et il le joue plutôt bien mais Ricky Gervais reste quand même largement au dessus.
Comme pour le premier épisode. De bonnes idées, mais des moments de trou ou vraiment gênant..
Steve Carell est flippant !!
"- Do you want to get high ? - No. - I think you do." Je commence à bien aimer, doucement mais sûrement ^^
Notre cher Scott et la claque monumentale signée Kelly rêt cardiaque.