David Wallace avertit Michael qu'il est retenu pour un poste libre au siège à New York, à charge pour lui de passer un entretien et de choisir un éventuel successeur à Scranton. Il organise une virée à la plage et amène ses subordonnés à s'affronter dans des compétitions farfelues supposées lui permettre de déterminer lequel d'entre eux est digne d'occuper son poste entre Jim, Dwight, Stanley et Andy, et charge Pam de prendre des notes sur les candidats tout en lui interdisant de participer aux épreuves. Quand Michael avoue finalement le véritable objectif de ces épreuves de sélection, Jim et Karen décident de poser leurs candidatures également, tandis que Dwight et Angela se débrouillent pour se débarrasser d'Andy. Ayant réussi (mieux que Dwight), et malgré l'interdiction de Michael l'épreuve de "marche dans les cendres", Pam confesse qu'elle en assez d'être ignorée par ses collègues et dit à Jim qu'il est la principale raison de l'annulation de son mariage.
S’il y a une comédie qui ne cherche ni la rédemption de ses personnages, ni l’émotion facile, c’est bien It’s Always Sunny in Philadelphia. Depuis 2005, la série imaginée par Rob McElhenney s’impose comme l’un des ovnis les plus tenaces du paysage télévisuel. Au fil des saisons, elle a su conserver une liberté de ton rare, en s’amusant avec les pires travers de l’âme humaine — le tout dans un bar irlandais en ruine de Philadelphie.
Et bonne nouvelle : cette nouvelle saison débarque en France sur Disney+ dès le 10 juillet.
Charlie, Dennis, Mac, Dee et Frank : cinq personnalités aussi dysfonctionnelles qu’inoubliables. Interprétés par un casting aussi engagé que talentueux (Danny DeVito en tête), ils forment une équipe d’arnaqueurs minables, constamment embarqués dans des plans foireux. Ce sont eux qui font toute la saveur de la série : antipathiques au possible mais toujours capables d’arracher un éclat de rire.