Michael décide de rejeter les avances de Jan, mais change d'avis et lui donne une seconde chance quand il voit qu'elle s'est faite refaire la poitrine. Michael, Jim et Karen font tous trois le voyage pour New York pour défendre leurs candidatures au poste qui s'est libéré au siège de la compagnie. Avant son départ, supposé définitif, Michael désigne Dwight comme son remplaçant à Scranton. L'entretien de Michael s'achève quand il apprend que ce nouveau poste est en fait celui de Jan en instance de licenciement. Jan, désormais sans emploi, décide de partir avec un Michael assez hésitant mais qui refuse finalement le poste et récupère sa place de directeur de Scranton. L'entretien de Jim se déroule bien jusqu'à ce qu'il trouve dans ses notes un petit mot de Pam lui souhaitant bonne chance. Comprenant qu'il ne peut pas de nouveau l'abandonner, il retourne seul au bureau, où il lui propose un rendez-vous. Le poste à New York est donné à Ryan.
S’il y a une comédie qui ne cherche ni la rédemption de ses personnages, ni l’émotion facile, c’est bien It’s Always Sunny in Philadelphia. Depuis 2005, la série imaginée par Rob McElhenney s’impose comme l’un des ovnis les plus tenaces du paysage télévisuel. Au fil des saisons, elle a su conserver une liberté de ton rare, en s’amusant avec les pires travers de l’âme humaine — le tout dans un bar irlandais en ruine de Philadelphie.
Et bonne nouvelle : cette nouvelle saison débarque en France sur Disney+ dès le 10 juillet.
Charlie, Dennis, Mac, Dee et Frank : cinq personnalités aussi dysfonctionnelles qu’inoubliables. Interprétés par un casting aussi engagé que talentueux (Danny DeVito en tête), ils forment une équipe d’arnaqueurs minables, constamment embarqués dans des plans foireux. Ce sont eux qui font toute la saveur de la série : antipathiques au possible mais toujours capables d’arracher un éclat de rire.