Après l'annulation (planifiée ?) d'une soirée de travail, Michael en profite pour inviter à dîner en couple Pam et Jim, ainsi qu'Angela et Andy, ce qui exclut Dwight. Quand Michael et Jan en viennent aux insultes sur la question des enfants, les invités commencent à songer à partir. La confusion s'accroît quand Jan sous-entend que Michael est sorti avec Pam et quand Dwight, jaloux d'Angela, débarque en couple avec son ex baby-sitter. Michael et Jan continuant à se quereller, Jan détruit un dundie en le jetant sur la télé plasma de Michael, alors qu'intervient la police appelée par les voisins. Après s'être accusé de tout, Michael se retrouve chez Dwight et abandonne une Jan qui essaie de recoller le dundie.
S’il y a une comédie qui ne cherche ni la rédemption de ses personnages, ni l’émotion facile, c’est bien It’s Always Sunny in Philadelphia. Depuis 2005, la série imaginée par Rob McElhenney s’impose comme l’un des ovnis les plus tenaces du paysage télévisuel. Au fil des saisons, elle a su conserver une liberté de ton rare, en s’amusant avec les pires travers de l’âme humaine — le tout dans un bar irlandais en ruine de Philadelphie.
Et bonne nouvelle : cette nouvelle saison débarque en France sur Disney+ dès le 10 juillet.
Charlie, Dennis, Mac, Dee et Frank : cinq personnalités aussi dysfonctionnelles qu’inoubliables. Interprétés par un casting aussi engagé que talentueux (Danny DeVito en tête), ils forment une équipe d’arnaqueurs minables, constamment embarqués dans des plans foireux. Ce sont eux qui font toute la saveur de la série : antipathiques au possible mais toujours capables d’arracher un éclat de rire.